Un début très poussif avec l'impression de suivre une équipe de poulets sans tête ("ah bon fallait pas tabasser mon agent infiltré parce qu'après ça se voit qu'il a la gueule défoncée ?"), mais très vite (8 épisodes et c'est plié) on est plutôt dans le haut du panier des Tom Clancy like, en évitant les combats 1 contre 100 complétement idiots, et en posant un dilemme interessant sans s'y éterniser.
Avec Taylor Sheridan aux commandes c'est jamais très fin, mais faut reconnaitre c'est toujours efficace, on aurait peut être souhaité qu'il ait plus de temps pour rendre l'histoire de fond un peu plus folle, plutôt que de trainer dans des arcs familiaux insipides, mais peut être qu'il s'y serait perdu.