J'ai abandonne au cinquième épisode, assommé par l'ennui
Alors oui, cela a été dit et redit, "Orange is the New Black" n'est pas "Oz".
Mais, si on gratte un peu, sous le vernis lesbien, on ne peut s’empêcher de penser
que la réalisatrice a voulu faire du HBO, ... sans en avoir le talent.
Derrière les provocations faciles et repetitives, on tombe en effet très vite dans une série poussive,
sans originalité, aux personnages vus et revus : la matrone black au grand coeur, la white trash évangéliste, la copine latino roublarde, la Russkof autoritaire, la Hipster qui la joue hipster, le rigolo petit copain nerd, ...
Cela nous donne des épisodes plats, prévisibles, alternant vulgarité et humour douteux.
C'est décidé, je vais me refaire Oz, ... et peut être même Prison Break saison 1