Ben oui, j'etais parti plein de bonne volonté, étant amateur de cyberpunk. Ça part tranquillement avec une intrigue typiquement Gibsonienne, avec des oligarques qui se mettent sur la tronche avec des scientifiques qui se mettent sur la gueule avec la police. Et puis, et puis… À partir du moment où l'héroïne assez inspirée aussi de notre chère Buffy se met à vouloir réellement sauver le monde et non en être une marionnette sans défenses, ils m'ont perdu. À partir de là, je crois que je n'ai plus rien compris, on va dire, depuis les trois derniers épisodes. C'est dommage, c'est dommage... triplement dommage, comme un athlète qui rate le record du monde d'un millimètre...