Voilà après cinq saisons, « Person of Interest » a tiré sa révérence de nos écrans. Un focus était donc indispensable sur la série créée par Jonathan Nolan qui n’a jamais cessé de nous étonner grâce à des histoires riches et poussées mais aussi par la qualité qu’elle apporte à ses personnages.
Lancée en septembre 2011, « Person of Interest » n’aurait pu être au premier regard qu’une énième série avec un petit concept sympa qui cherche à se distinguer des autres : celui d’une machine intelligente capable de repérer des personnes qui vont être impliquées dans un crime ou en être les victimes (« Big brother is watching you » disait Georges Orwell).
Voilà le concept de départ mais Jonathan Nolan, son créateur, scénariste de « Memento » et « The Dark Knight » (il y a pire comme références), avait autre chose en tête. Dès le lancement de la série, il comptait explorer les possibilités offertes sur la question très actuelle de l’intelligence artificielle et incorporer dans son concept de base des dizaines de tentacules afin de composer une mosaïque passionnante bourrée de fils rouges avec un thème si proche de nos avancées technologiques qu’il était susceptible d’être réel.
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