Et une série américaine qui nous fait perdre notre temps en plus ! Comme d'habitude, nous allons avoir droit à des acteurs sans jeu, tous "parfaits" : d'un côté les garçons craquants, mystérieux et bien foutus, d'un autre les filles sexy, riches, une fois jouant la crème de la gentillesse et de la naïveté, sans oublier les "bitches" bien connues qui règnent par la manipulation. Vous pouvez faire plus cliché?
Nous tombons dans le déjà vu dès la première scène: une petite ville qui ressemble à n'importe quelle autre, mais qui pourtant cache des sombres mystères... Voici la phrase d'accroche de la série. On ne peut pas faire plus morne et régressif.
Nous comprenons alors pourquoi les auteurs de cette "série" -que je préfererais qualifier de "feuilleton grotesque"- doivent y ajouter du sexe et le mystère d'un meurtre pour attirer quelques spectateurs. La filmographie de Greg Berlanti et Roberto Aguirre-Sacasa nous conforte d'ailleurs dans l'à priori que leur production va être un amas de bêtises sempiternel: entre les séries "Arrow", Big Love" et le film "Carrie", on nous sert des divertissements superficiels sur un plateau en or. Oui, parce qu'ici permettons nous d'affirmer que la seule ambition de la série est d'amasser les billets. Et puisque la recherche d'originalité se fait grandement désirer au cours des épisodes, Berlanti et Sacasa eurent la BRILLANTE idée d'engager un acteur roux pour faire de ce héros un atypique personnage ?
Je peine à trouver des sentiments optimistes quant à Riverdale, je la conseille au adolescents qui veulent ressembler à tout le monde et prendre exemple sur les personnages qui représentent TELLEMENT la réalité d'un vrai lycée ! -ironie.