INTÉRÊT : ⭐⭐⭐⭐⭐
Mauvaise impression au 1er épisode: Effets spéciaux ratés, histoire pas convaincante. Et d'épisode en épisode, ça devient de plus en plus prenant quand les éléments et personnages se mettent en place, l'histoire s'améliore pour devenir palpitante avec l'arrivé de Sygma, pourriture géniale. Le scénario devient plus fouillé en avançant, comme une course contre la catastrophe qui semble inévitable.Les scènes de fusillade sont nombreuses, un peu trop le syndrome des balles qui ne touchent jamais personne. D’ailleurs les hommes en noir du bureau manquent de subtilité dans la réalisation, caricaturaux et trop voyants pour un bureau sensé agir dans l'ombre. Forcément le voyage temporel est casse gueule, il peut y avoir des incohérences, des zones d'ombres, on se pose des questions mais ça passe, les personnages eux-mêmes n'ont pas réponse à tout.
ÉMOTION : ⭐⭐⭐⭐⭐
Mon dieu, l'épisode 9!!!!, sans parler de l'épisode 16. Ça canarde beaucoup mais l'émotion est ailleurs, dans ces êtres qu'on a dû laisser derrière soi mais qui sont quelque part; non pas "où" mais "quand".
OST : ⭐⭐⭐⭐⭐
Musique instrumentale exceptionnelle pour illustrer l'image, dans l'action comme dans l'intime (Cette musique de l'épisode 9 dans le bunker!!!!). Chansons excellentes mais on ne les entend pas vraiment dans la série.
ATTRACTION : ⭐⭐⭐⭐⭐
Park Shin-hye, impliquée physiquement campe parfaitement son personnage de survivante qui veut changer à tout prix son destin et celui de ceux qu'elle aime.
Han Tae-sul, sorte d'anti héros, évolue jusqu'à la surprenante scène finale.
Le chef du magasin asiatique joué par un Sung Dong-il qui apporte beaucoup de corps à son personnage torturé. Sygma, un fou dont on découvre l'origine de cette haine du monde.