Mon Dieu, quelle abomination !
Alors qu'on attendait avec tant d'impatience la relève du plus illustre de tous les capitaines de la FI, voilà-t-y pas que radine un vieux machin maigrelet et pusillanime.
Par où commencer ? Tout d'abord l'aspect chétif de l'avorton, qui est sert de mise en abîme à tout le reste ! Dégarni, trop grand ou portant des vêtements trop courts qui ont engendré chez Patrick Stewart un tic insupportable qui lui fait tirer sans arrêt sur sa chemise, comme pour rallonger son espérance de vie.
A présent le contenu : fini les beaux jours où le capitaine prenait une décision après avoir conféré avec son second. Au lieu de cela, il est affublé d'une espèce de diseuse de bonne aventure, une sorte de Cassandre interstellaire au gros pif. Un caniche qui le suit partout et qui le paralyse plus qu'elle ne le conseille. Le seul personnage ayant un tant soit peu de caractère est... un klingon ! Misère, quelle époque !
Si on compare le contenu des scénarios on se rend compte que là ou son prédécesseur affrontait l'inconnu, décidé et sûr de lui, le capitaine Picard hésite, tourne autour du pot et refuse le combat dès que possible. Signe des temps, qui est je crois à mettre sur le compte du vécu des scénaristes :
Ceux de TOS avait combattu victorieusement le fascisme, libéré des camps de concentrations servit leur pays dans les îles du pacifiques contre un Empire du soleil levant expansionniste, alors que finalement, ST Next Generation a été écrit par des personnes qui n'ont connu que la crise économique et se souviennent douloureusement d'une triste aventure dans le sud est asiatique
Au final que nous enseigne Star Trek Next Gen ?
1) Il ne fallait pas tuer le capitaine Kirk.
2) Ne jamais porter de T Shirt trop court
3) La calvitie n'à rien avoir avec la testostérone