La série se scinde en deux arcs : l’un centré sur les origines d’Ahsoka et l’autre qui voit graduellement Dooku sombrer du côté obscur.
Les épisodes sont très (trop) courts durant à peine entre dix et vingt minutes. La partie concernant la Jedi féminine exsudent la superfluité tandis que celle de son pendant masculin s’avèrent des plus captivants, car ils abordent un pan inédit : son basculement dans la malveillance. Ce qui est l’occasion de s’interroger sur le bienfondé de leurs agissements ; ne serait-il pas écorniflé par le Sénat ?