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Hail to the grief
Nulle surprise à ce que l’exposition de The Leftovers soit à ce point saturée de mystères : le créateur de Lost, Damon Lindelof, n’est est pas à son coup d’essai en matière d’écriture, et le monde...
le 7 janv. 2020
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14
Déprimant.
Mais vraiment déprimant.
Et pourtant... On peut pas dire passionnant, pas palpitant, pas exaltant...
Le rythme est assez lent, disons appliqué. Quand on y réfléchit après visionnage, il s'y passe pas pal de choses. Cette vision d'un monde ou tout espoir et toute fantaisie semblent avoir disparu est sidérante. Plusieurs histoires sont racontées, assez inégalement, il va falloir les raccrocher à un fil directeur (l'histoire du fils est pour l'instant assez ratée).
On n'attend pas de comprendre le mystère des 2% disparus, mais plutôt de comprendre ce qui motive ces personnages à agir. D'ailleurs personne ne semble chercher ou penser trouvable la raison des disparitions. Au lieu de cela, certains shootent des chiens. D'autres se mettent à fumer en communautés. Et d'autres se bourrent de cachetons. Et puis mettre un shérif en personnage principal, pour mieux en faire un paumé fonctionne vraiment très bien.
Et pourtant... On peut pas dire passionnant, pas palpitant, pas exaltant...
Le rythme est assez lent, disons appliqué. Quand on y réfléchit après visionnage, il s'y passe pas pal de choses. Cette vision d'un monde ou tout espoir et toute fantaisie semblent avoir disparu est sidérante. Plusieurs histoires sont racontées, assez inégalement, il va falloir les raccrocher à un fil directeur (l'histoire du fils est pour l'instant assez ratée).
On n'attend pas de comprendre le mystère des 2% disparus, mais plutôt de comprendre ce qui motive ces personnages à agir. D'ailleurs personne ne semble chercher ou penser trouvable la raison des disparitions. Au lieu de cela, certains shootent des chiens. D'autres se mettent à fumer en communautés. Et d'autres se bourrent de cachetons. Et puis mettre un shérif en personnage principal, pour mieux en faire un paumé fonctionne vraiment très bien.
8
Écrit par
Créée
le 12 oct. 2014
Modifiée
le 12 oct. 2014
Critique lue 385 fois
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