LA BOUFFONNERIE EST TERMINÉE

J'ai rarement vu une série aussi pourrie, j'ai pas pu terminer The Wire parce que mon abonnement OCS s'est terminé, du coup je vais devoir continuer en piètre qualité, qualité que l'on retrouve dans cette série de mort. Pro-féministe à la con, en revanche, qu'une seule victime et c'est également la seule asiatique, je ne veux rien insinuer, mais je le dis quand même.

Tout est prévisible, pas le moindre soupçon d'originalité avec des sujets traités maladroitement. Dans la série on voit des gonzesses avec toutes, différents défauts et des vies plus ou moins compliquées, mais les défauts de ces quelques 10 épisodes, ne vous inquiétez pas, il y en a pas mal.

Tout d'abord, elles sont sur une île, loin de tout mais bon, elles n'ont pas l'air plus inquiétées que ça, elles font des petites parties de Uno, ça bouffe des chips, ça one shot des bouteilles de vodka, ça se remaquille, ça dessine sur des mannequins...

Ensuite, après plusieurs jours sur l'île, pas la moindre perte de poids, peut-être due à leur consommation de chips. La seule transformation physique serait peut-être des petites rougeurs sur la ganache, mais je soupçonne que celles-ci soient déjà présentes avant leur voyage en avion.

En conclusion, je soupçonne la débilité mentale des participantes car dans leurs flash-backs, bon nombre d'entre-elles se sont cognées, ce qui explique peut-être leurs comportements sur l'île.

Enfin bref, passer d'Omar qui fracasse les dealers de Baltimore à une fragile qui fracasse une chèvre, ça me dégoûte un peu.