Pourrais t’on dire que cette série fut prémonitoire? Un virus virus mortel attaquant les voies respiratoires se propage à grande vitesse. Moscou est en état d’alerte et chacun tente le va tout pour s’en sortir.
CE virus, d’ou vient il? Nul ne le sait. La population est infectée sans crier gare. Barages sur les routes et toutes personnes infectées est abattue, au moins, le gouvernement ne s’embarrasse pas de précautions ni de quarantaine, c’est le moins que l’on puisse dire, humour noir, j’en conviens!
A cela se greffe comme c’est souvent le cas, des groupes qui tentent par tous les moyens de profiter de la situation.
Trois familles se dirigent vers le Lac ou les attends un vieux bateau. Au cours de leur périple qui ne s’annonce pas sans dangers, on verra tour à tour , au fil des rencontres, se déclencher le processus de l’entraide, mais aussi la veulerie de l’humain qui, poussé aux extrêmes tente le tout pour le tout pour sauver les siens mais aussi pour profiter de la situation coute que coute
Kirill Kärö (ce sacré veinard, qui s’entoure de belles actrices .. (Better than us) et dans cette série la, en presque quasi 8-clos, l’ex et la nouvelle) est donc le leader charismatique de cette mini-série. Le hic est nul ne sait d’ou vient ce virus, le gouvernement est inexistant et son action consiste en une solution plutôt radicale et expéditive. La solution salvatrice, c’est Pavel qui semble être l’anti-virus sur pattes puisque de tout ce beau monde qu’il a cotoyé, il est sortie indemne de l’aventure, et après avoir guérie Anna , son coté sauveur de l’humanité lui dicte de se rendre au laboratoire le plus proche afin que son sang puisse être exploité. Nul ne sait s’il arrivera à destination ni comment cette histoire se terminera. Rien donc sur l’après infection .. sauf que l’on entr’aperçoit des hordes de soldats masqués qui semble venir d’un autre continent et qui ne sont pas animés des intentions les meilleures..