Juste au cas où, je risque fort de ne pas évoquer la série dans le détail. En effet, même si les épisodes sont théoriquement indépendants les uns des autres, il y a un bon gros fil rouge des familles pendant les deux saisons. Et je ne veux pas gâcher le plaisir de la découverte à quiconque voudrait la regarder
Cette critique, je l'écris en partie pour remercier une amie, à qui je dois un paquet de changements récents (depuis quelques semaines). J'ai pu prendre conscience de certaines choses grâce à elle. Alors oui je raconte ma vie, mais j'ai dit plus haut que je ne vais pas trop parler de la série. D'une certaine manière, je pense que l'on a tous dans son entourage cette " True Davies ", gentille et qui ne vous juge pas, quelques soient les circonstances (prête à aider les autres en prime)
L'autre raison qui fait que j'écris cette critique, c'est pour remercier Jon Harmon Feldman d'avoir pondu un concept pareil pour une série télé (il est réalisateur et scénariste en même temps). En 2003, #NCIS vient de démarrer et les séries médico-légales type #Les Experts ou #Esprits Criminels ne sont pas encore à la mode. Avoir une série télé aussi riche au niveau des thèmes abordés sur la base de la simple dichotomie, montre l'existence d'un scénario très bien écrit (avis personnel). Je ne vais pas détailler ces thèmes car ça serait rentrer dans le scénario de chaque épisode, ce que je ne veux pas faire !
En plus de ça, la série est portée par Eliza Dushku, que je place sans aucune hésitation sur le podium de mes actrices favorites. L'affaire de viol sur le tournage de #True Lies (1994) a sûrement donné un coup de frein à sa carrière, mais là dessus je pense qu'il y a vraiment des abrutis finis. Le mec qui a fait ça, s'est essayé sur une gamine de 14 ans qui découvrait tout juste Hollywood...
Putain mais dans quel monde on vit ! Moralement, c'est encore pire que l'affaire Weinstein (les " rdv de travail " dans les chambres d'hôtel acceptés par les actrices, je rappelle)