Ultraviolet: Code 044 par Ninesisters
Pour résumer Ultraviolet Code 044, je ferai un parallèle avec d'autres travaux de commande du studio Madhouse : c'est comme Iron Man (ou Wolverine), mais avec Osamu Dezaki à la réalisation. Un anime porté vers l'action, mais qui ne réussit pas à proposer des scènes aussi impressionnantes que Kurozuka, et que des personnages dépourvus du moindre charisme et un scénario morne – aux révélations d'un ridicule achevé – arrivent à sérieusement handicaper. Osamu Dezaki, quant à lui, semble abuser de son propre style, et utiliser ses tics habituels sans le moindre discernement, flanquant abusivement des plans fixes alors que cela semble très rarement nécessaire.
A la base, l'anime était déjà indigne de ce grand réalisateur, lequel propose un travail peu inspiré. Zéro intérêt, hormis peut-être une ou deux scènes au-dessus du lot, mais qui ne justifient en rien de s'infliger les 12 épisodes de Ultraviolet Code 044.