L'actualité sur Yakuzas - Les mafieux légendaires au Japon
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2024 • Série Arte
Synopsis : À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin. Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.
2024 • Série Arte
Synopsis : À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin. Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.
a recommandé la série
et l'a ajouté à sa liste
2024 • Série Arte
Synopsis : À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin. Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.
Le 22 juil. 2024
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“Si c'est Arte, je sais déjà que ce sera mal branlé et rempli d'erreurs, c'est donc non.”
Leur doc sur Napoléon qui raconte sans trembler des genoux qu'il a attaqué l'Europe (mdr) ou celui sur Hitler qui racontait qu'il a été élu par le peuple (lol encore). Bref, les exemples sont légion. De toutes façons, chaque fois que les biais idéologiques et politiques entrent en jeu, c'est pas très bon pour la justesse et la neutralité historique.
Le 7 août 2024
2024 • Série Arte
Synopsis : À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin. Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.
2024 • Série Arte
Synopsis : À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin. Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.
a écrit
sur la série
, lui a attribué 8/10 et l'a ajouté à sa liste
2024 • Série Arte
Synopsis : À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin. Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.
Le 16 mai 2024
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2024 • Série Arte
Synopsis : À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin. Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.
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Synopsis : À partir de témoignages exclusifs de plusieurs d’entre eux, d’éclairages et d’archives, une fascinante immersion au coeur du monde ritualisé des yakuzas, mafieux légendaires aujourd’hui sur le déclin. Si le temps des yakuzas semble révolu depuis les lois des années 2010 contre le crime organisé, ces groupes mafieux japonais perdurent. Apparus à la fin du VIIIe siècle, quand l’empire recourt à des marginaux pour encadrer les jeux de dés et d’argent, les yakuzas (le terme signifie "8-9-3", une main perdante), issus des couches pauvres les plus discriminées du pays, trouvent dans les gangs un moyen de s’élever socialement. Régi par un code d’honneur, le Ninkyôdô ("la voie chevaleresque"), qui se transmet de génération en génération, leur monde est très ritualisé. Charismatique mafieux à l’allure débonnaire, Takeshi Ichiyama, qui règne sur le territoire de Kochi, montre non sans fierté son dos recouvert d’un immense tatouage, marque de loyauté à son clan. Chef à Asakusa, un quartier populaire de Tokyo, Akira Asakura, lui, se souvient avec émotion du sakazuki, le partage solennel de la coupe de saké qui a symbolisé l’allégeance à son oyabun (parrain). Traditionnellement, les yakuzas proscrivent le vol ordinaire ou à main armée et les agressions sexuelles. Ils tirent leurs revenus de divers trafics – dont celui de la drogue, pourtant interdit par leur code – ainsi que de la collecte de "taxes de protection" prélevées sur les restaurants, les casinos ou les bars à hôtesses, notamment à Kabukichô, le quartier rouge de la capitale. Présente sur tout le territoire nippon, cette mafia compte vingt-trois organisations – avec une myriade de clans et de groupes affiliés –, dont la plus importante, le Yamaguchi-gumi, a été fondée à Kobe en 1915. Longtemps acceptée par la société et les autorités comme un mal nécessaire contre la violence qu’elle prétendait contenir, cette pègre a pourtant perdu de son crédit au cours des dernières décennies en ensanglantant le pays par des guerres fratricides.