Les meilleures histoires de Deadpool selon arnonaud

Annotation :

Très bon récit de Deadpool, qui utilise très bien le côté sombre du héros. Que ce soit son côté rejeté par les autres héros, son passé trouble rempli d'expérimentations et de tragédies... C'est vraiment très sympa, avec une révélation en cours d'arc qui donne une profondeur toute nouvelle et bienvenue au personnage.

Alors pour ceux qui veulent du gros gag, c'est pas ici qu'il faut venir, mais pour ceux qui veulent lire une bonne histoire du clown mercenaire, c'est assurément le récit qu'ils vous faut.

En plus c'est dessiné par Declan Shalvey, ce qui ne gâche rien.

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Très bon arc du merc-with-a-mouth, qui mixe habilement délire, action et passages plus sérieux et dramatiques. Duggan et Posehn s'intéressent enfin à une intrigue laissée en plan depuis la fin du tome 3 et ça donne de très bonnes choses.

Le dessinateur à un style un peu brouillon dans sa narration, mais ses dessins sont énergiques et expressifs et ont le mérite d'avoir plus de personnalité que ceux de Hawthorne, le dessinateur habituel de la série.

A noter le chapitre flash-back dans les 90's qui est vraiment excellent, réussissant à mixer des moments de délire hilarants avec un passage extrêmement sérieux et qui continue d'épaissir le background tragique du personnage.

Annotation :

Bonne petite mini-série pour découvrir l'univers de Deadpool (même si ça se passe dans un univers alternatif). L'histoire est bien trouvée avec de nombreux rebondissements, et puis il y a les superbes dessins cartoony du bien trop rare Jason Pearson, qui certes s'en donne un peu trop à cœur joie sur les poitrines des personnages féminins, mais qui est franchement très bon.

- Histoire complète en un tome -

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Un tome très sympathique, où l'on découvre un nouveau statut quo pour notre anti-héros et de nouveaux personnages secondaires. Avec en parallèle la poursuite d'anciennes intrigues du run de 2012 du même scénariste, et l'émergence d'un nouvel adversaire charismatique pour faire face à Deadpool.

Annotation :

Un arc vraiment tie-in à l'event Axis qui s'intéresse au meilleur personnage de l'event, Deadpool, qui devient le non-violent et non-lethal Zenpool après l'inversion.

On s'aperçoit que les auteurs maîtrisent désormais très bien la série avec ce tome. Suivre les aventures de ce clown tragique de Deadpool est un plaisir, surtout avec toute la galerie de personnages secondaires attachants qui s'est construite autour de lui durant ce run.

Annotation :

Un bon petit arc, bien mené, qui montre bien l'évolution morale de Deadpool depuis le début du run de Posehn et Duggan. En plus on a une petite critique en passant des pratiques industrielles voyou au Moyen-Orient, ce qui est toujours ça de pris.

L'un des bon points de cet arc, c'est la présence de Salvador Espin aux dessins, avec son style cartoony lisible et agréable, qui fait un Deadpool tout mignon. Ça change du style de Hawthorne qu'on retrouve pour le dernier numéro, qui dessine très bien les scènes d'action, mais qui les illustre toujours de manière très froide, ce qui rend les scènes où Deadpool massacre des hommes de mains toujours un peu dérangeantes.

Annotation :

Mini-série qui se place entre le tome 4 et 5 du run de Duggan et Posehn sur Deadpool, et qui permet d'introduire Shiklah dans la série.

C'est une petite histoire très fun, facile d'accès, qui peut se suffir à elle-même et qui est surtout une belle synthèse de l'esprit Deadpool, avec pas mal de petits délires qui font sourire, de persos un peu improbables (dont Bob de l'HYDRA, qui est autrement absent du run des deux scénaristes) et surtout beaucoup d'action, dont une grosse bataille finale pleine de monstres et un duel face à Dracula plutôt sympa. Et c'est pas tous les jours que l'on croise Blade dans les comics Marvel, donc c'est toujours un plaisir de le voir passer faire coucou.

Comme souvent sur le run Marvel Now de Deadpool, ça manque de vrais temps forts, de gags réellement hilarants et de dessins de haute volée (même si Reilly Brown fait un boulot franchement très honnête), mais c'est une petite lecture détente qui plaira aux fans du personnage.

Annotation :

La série retourne un peu à la tranquillité après un troisième tome vraiment très réussi, mais le travail fait sur les personnages demeure, et le duo Deadpool-Preston est vraiment très attachant et on a beaucoup de plaisir à les suivre. J'aime toujours autant ce Deadpool légèrement fragile (qui est vraiment la meilleure facette du perso), et puis on commence à avoir une réflexion qui s'affirme de plus en plus sur les méthodes un peu trop expéditives du mercenaire. C'est intéressant. On sent que les scénaristes veulent faire mûrir le personnage.

Donc voilà, un arc sympathique, pas incroyable parce que ça manque un peu de moment forts, mais qui se lit vraiment avec plaisir.

Annotation :

Recueils d'annuals et numéros spéciaux de Deadpool, plus ou moins liés au run de Posehn et Duggan sur le personnage.

C'est pas un indispensable, mais les histoires sont globalement sympathiques à lire et amusantes, avec des dessins globalement honnêtes. C'est pas du grand comics, mais c'est loin d'être une lecture désagréable.

En plus, c'est le grand retour de Brute Force, une improbable équipe créé dans les années 90 par Marvel et qui est composée d'animaux en armures de combats colorées et se transformant en véhicules !

A noter que ce tome contient l'Annual 2013 de Deadpool, racontant l'histoire commune entre le mercenaire disert et Madcap, épisode qui va avoir une conséquence sur la série Deadpool de 2015.

Annotation :

Les dessins sont carrément un cran en dessous de ceux du premier tome, Mike Hawthorne ayant un dessin vraiment passe-partout et sans style. Mais du côté du scénario, Duggan commence à lancer de nombreuses pistes scénaristiques ça et là et rend sa série de plus en plus intéressante.

Par contre, c'est toujours pas très drôle, hein (à part le premier chapitre qui est une parodie des comics des 80's).

Annotation :

Team-up entre les deux Hawkeyes et Deadpool autour d'une aventure urbaine sans intérêt qui les confrontera tout de même à Black Cat et Typhoid Mary (et aussi à tout un tas d'homme de mains jetables).

On appréciera les clins d’œils fait aux séries de 2012 des deux héros, et quelques scènes sympathiques (la course-poursuite dans New-York, le début de la confrontation finale), mais ça reste une histoire pas très drôle (malgré les tentatives d'humour régulières, mais qui vous plairont peut-être plus qu'à moi) et au final très anecdotique, notamment sur la partie graphique, plutôt passe-partout (même si Matteo Lolli semble plus inspiré ici que sur l'arc qu'il fera ensuite opposant Deadpool à Sabretooth).

Annotation :

Conséquence de l'arc de Deadpool lié à Original Sin, voilà la confrontation tant attendue entre Deadpool et Sabretooth.

On a bien entendu le droit à quelques scènes d'actions impressionnantes et à une bagarre bien sanglante, mais ça se termine un peu en queue de poisson, et les dessins de Matteo Lolli couplés aux couleurs un peu fades de Ruth Redmond manquent un peu d'envergure pour donner à cet affrontement le cachet qu'il devrait avoir.

Annotation :

Un tome un peu déconcertant puisqu'on y va pour lire un gros délire (surtout à la vue de la couverture) et en fait ce n'est pas très drôle. Ni même une très bonne histoire d'ailleurs. Ça se lit, mais le côté répétitif de la tuerie des dizaines de présidents américains zombies ne rend pas ça follement passionnant.

Reste des personnages secondaires plutôt bien trouvés et surtout un Tony Moore au style graphique toujours aussi agréable à l’œil, même si je le soupçonne de ne pas faire fonctionner graphiquement les gags à leur maximum.

- Point d'entrée -

Annotation :

Le one-shot Last Days of Magic est très important pour ceux qui ont lu le run de Duggan jusque-là.

Le reste est une aventure random sans grand intérêt, si ce n'est pour le team-up avec Daredevil, Power Man et Iron Fist, et le retour vers une histoire de Deadpool plus légère et humoristique. A noter la présence de Typhoïd Mary, pour ceux qui aiment cette méchante.

Le tome peut tout à fait convenir à ceux qui veulent juste lire une histoire légère et facile d'accès de Deadpool.

Annotation :

Deadpool se marie et part en voyage de noces. C'est sympathique, dans la continuité de la série sans être ce que les auteurs ont fait de mieux.

Et autour de tout ça une tonne d'histoires courtes, plus un one-shot flash-back et un annual... Et la qualité globale est plutôt moyenne (sauf le flash-back qui est comme toujours plutôt drôle et réussi). Le tome intéressera plus les lecteurs vraiment fans du personnage.

Annotation :

Beaucoup d'histoires courtes dans ce tome, donc on avance pas vraiment l'histoire principale, ce qui est franchement dommage. De plus, on a deux histoires courtes quasiment intégralement en espagnol, ce qui n'est pas évident à suivre.

Par contre, on a quelques pistes intéressantes pour la suite du run de Duggan et les dessins de Koblish (qui s'occupe de la grande majorité des histoires) sont toujours aussi efficaces et amusants.

Annotation :

Les débuts de Deadpool. Il est un personnage ultra secondaire de ce tome, donc si vous lisez cette BD uniquement pour voir Deadpool, vous risquez d'être sacrément déçu, surtout qu'il na pas encore toute sa drôlerie à l'époque. Il a de la gouaille, il fait le malin, mais il n'est pas encore le pitre qu'il sera ensuite.

Par contre l'avantage de cette lecture, c'est que ça donne un peu de contexte pour les premières mini-séries consacrées au perso (à savoir The Circle Chase et Sins of Past, contenue dans Deadpool : les origines).

Annotation :

Bon j'avais vu que les américains semblaient bien aimer la mini-série Deadpool de Mark Waid, du coup je l'ai lu, ainsi que celles de Joe Mad' et Nicienza qui la précède.

Et c'était très moyen.

Honnêtement ça se laisse lire, mais les intrigues sont sans intérêt, les personnages ne sont jamais développés (si ce n'est Deadpool qui à le droit à son instant sensible au dernier numéro de chaque mini, youpi), ce n'est pas drôle et ça passe son temps à se battre alors que les scènes d'action ne sont pas biens écrites (allez lire un shonen de baston pour voir comment faut faire, parce que là c'est plus possible).

En plus les dessins ne sont pas très beaux (désolé Joe Mad'), surtout ceux de Ian Churchill. Et ils ne sont pas aidés par les encrages 90's tout pourris, les designs de personnages affreux de l'époque, et un sens de la mise en page visiblement en vacance, privilégiant des choses "dynamiques" (avec des persos musclés sur un quart de pages !) au lieu de pages agréables à lire et faciles à suivre.

- Point d'entrée -