Les meilleurs films avec Matt Damon selon abscondita

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"Matt Damon et Christian Bale sont tous deux incroyablement doués. Il y avait entre eux une camaraderie naturelle que j’ai sentie dès le début et qui se perçoit vraiment à l’écran.
Matt a été une star de cinéma presque toute sa vie. Il porte en lui la célébrité et la notoriété de sa prestigieuse carrière, mais il est aussi confronté aux interrogations de tous les acteurs ayant atteint la quarantaine – que vais-je faire maintenant ? De la même manière que Caroll Shelby a dû se réinventer lorsque notre histoire commence." (James Mangold)

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Afin de se préparer au rôle de François Pienaar, Matt Damon a suivi un entraînement au Gardens Rugby Club, sous la houlette de Chester Williams, qui avait porté les couleurs de l'Afrique du Sud en 1995, lors de la Coupe du Monde de rugby, et n'est autre que le premier joueur de couleur à avoir été appelé en sélection après l'aboltion de l'Apartheid (et le troisième de l'Histoire du pays).

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Matt Damon parle du film : "Nous étions convaincus qu’il s’agissait d’une histoire incroyable. La question était de savoir comment la raconter de manière passionnante. C’est là que nous avons eu l’idée des différentes perspectives. Nous avons construit un récit qui appâte le spectateur et l’entraîne dans une certaine direction en consacrant les deux tiers du film aux regards portés sur les événements par les personnages masculins avant de tout bouleverser et révéler qu’en fait Marguerite de Carrouges est la véritable héroïne de toute l’histoire."

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Pour être crédible en foreur de pétrole, Matt Damon a passé beaucoup de temps en compagnie de "Roughneck" d'Oklahoma, ces Américains excerçant des métiers manuels très difficiles (l'expression désigne principalement les foreurs).


Lorsqu'il a commencé à travailler sur Stillwater en 2010, Tom McCarthy voulait réaliser un thriller situé dans une ville portuaire d’Europe, en s'inspirant de plusieurs auteurs de polars méditerranéens, comme Andrea Camilleri, Massimo Carlotto et Jean-Claude Izzo. Il se rappelle : "Il m’a suffi de me rendre une fois à Marseille pour savoir que j’avais trouvé ma ville portuaire. L’atmosphère et les couleurs de la ville étaient, de toute évidence, cinématographiques – et le mélange de cultures, comme le rythme de cette métropole méditerranéenne, me semblait être le cadre idéal du film."

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Je joins à ce volet de la saga les autre volets.

Bourne a permis à Damon de donner un second souffle à sa carrière qui était en bien mauvaise posture après les échecs successifs de La Légende de Bagger Vance et De si jolis chevaux.

L'une des scènes d'action les plus spectaculaires de La Mémoire dans la peau est sans nul doute celle au cours de laquelle Matt Damon descend une façade d'immeuble à mains nues, le tout sur plus de vingt mètres. L'acteur en garde un souvenir vivace. "Cette descente est probablement ce que j'ai tourné de plus dur au cinéma. J'avais déjà quelques scènes très physiques dans Il faut sauver le soldat Ryan et A l'épreuve du feu, mais celle-ci les bat toutes, car je suis loin d'être un grimpeur confirmé."

"Matt Damon a du subir un entraînement physique intense pour préparer son rôle. "J'avais à peu près trois mois pour me former aux arts martiaux, à la boxe, au maniement d'armes, et devenir un parfait assassin", se rappelle le comédien. Celui-ci fut ainsi initié à un art martial philippin méconnu répondant au nom de Kali. Le chef cascadeur Nick Powell explique que cette pratique "repose sur trois ou quatre mouvements simples et très rapides : parade, blocage, annihilation. On le voit très rarement au cinéma, raison pour laquelle Doug (Doug Liman, le réalisateur) l'a adopté sur ce film. Il voulait que Jason, cette véritable machine à tuer, ait une technique de combat bien à lui."

Selon Matt Damon, c'est le choix de Doug Liman comme réalisateur de La Mémoire dans la peau qui l'a incité à se lancer dans l'aventure. "J'ai eu envie de faire La Mémoire dans la peau pour Doug, à cause de sa sensibilité de cinéaste. J'étais sûr qu'il ne se contenterait pas de faire un film d'action hollywoodien et je me suis dit qu'il était le réalisateur idéal avec qui tenter ce genre d'expérience."

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Interview:
Miller ?

On peut tous s'identifier à lui, car son parcours au cours du film ressemble au nôtre à la même époque. En 2003, on nous avait dit, de manière univoque, que des armes de destruction massive se trouvaient dissimulées à Bagdad. Cela justifiait l'entrée en guerre des États-Unis en Irak. Mon personnage s'inspire de Monty Gonzales, l'officier américain qui dirigeait la Met Team Alpha et qui m'a avoué qu'à l'époque lui aussi était « sûr que les armes étaient là ». Ils l'étaient tous…

Film de guerre, thriller politique, intrigue d'espionnage : Green Zone ressemble-t-il à un Jason Bourne ?

Disons que ces films, très différents dans leur propos, ont quand même été pensés et fabriqués par la même équipe. On y retrouve forcément la même empreinte, le même style. En revanche, dans Green Zone , le personnage principal que j'incarne s'éloigne beaucoup de Jason Bourne. Bourne est une sorte de superhéros, alors que Paul Greengrass voulait ici réaliser un film plus sérieux, plus engagé et politique.

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Tim Moss, est membre de la « Professionnal Golfer Association of America ». Conseiller technique sur le film dès sa préparation, il a eu pour mission de transformer Matt Damon en un joueur crédible.

"J'ai dû partir de zéro. Mais par certains côtés, c'était mieux que si j'avais déjà eu un peu de pratique. J'étais une masse de glaise à laquelle Tim Moss devait donner une forme de golfeur, sans avoir besoin de briser d'abord mes mauvaises habitudes. Vu que je n'avais pas de mauvaises habitudes - en fait, je n'avais aucune espèce d'habitude -, ça s'est bien passé." (Matt Damon)