Les meilleures BD de 2014 selon floflow

Annotation :

--> Pour la réédition.

Et voilà, je lis enfin le comic culte de Warren Ellis, dont j'entends beaucoup de bien depuis maintenant quelques temps. Et que vaut-il réellement ? Est-il à la hauteur de sa réputation ? Je le dis franchement, oui, Transmetropolitan est vraiment un excellent comic, du genre dont on se souvient longtemps après la lecture, et auquel on aime penser. Transmetropolitan, c'est l'histoire de Spider Jerusalem, journaliste polémiste-provocateur-imbuvable connard, qui arrive dans La Ville, cité futuriste semblant mélanger des influences pop/sf de toutes parts. Et cela donne une espèce de gros fourre-tout complètement délirant, provoquant et subversif comme il faut, ce qui permet d'avoir une bonne variété d'histoire à raconter, et aussi de démontrer toute la richesse de l'univers qu'ont crée Warren Ellis et Darick Robertson. Le personnage de Spider Jerusalem est très bien écrit, réussissant à être attachant (alors qu'il envoie chier tout le monde) par sa volonté à chercher la vérité dans un univers qui s'en fout, ne pensant plus qu'à l'expansion. Ainsi, à l'image du personnage, le ton de la BD est très critique, envers tout le monde, que ce soit la télé, la religion,etc. N'oublions pas l'inventivité incroyable de Warren Ellis, en terme de concept et d'idée, souvent parfaitement barrés qui prête à sourire, et démontrent vraiment bien la folie de cette Ville. (je pense notamment aux AirJesus, mais aussi au chapitre qui met en scène un chien-flic qui est absolument génial)
Darick Robertson aide également beaucoup pour l'ambiance de la Ville, notamment par ses petits détails placés ça et là, mais aussi par sa narration bien pensée, et évidemment par les désigns un peu fous des personnages qui rendent très bien dans cet univers déjanté. Les couleurs sont aussi plutôt réussis, même si caractéristiques de ce que l'on voyait à cette époque dans les comics. Bref, vous l'aurez compris, Transmetropolitan est génial de partout, j'ai hésité avec le 10, mais je me réserve pour les prochains tomes, (en espérant voir le « truc » qui fait que je pourrais mettre 10) surtout quand j'entends dire que cela devient de mieux en mieux...Bref, lisez Transmet, en l'achetant, en l'empruntant, en vous le faisant offrir, mais ça vaut franchement le coup, tant par la richesse de l'univers fou qu'il développe que par ce côté abusivement provocateur.

Annotation :

Pour les tomes 7 à 9.

T7 : Encore une fois, Araki nous offre un volume de haute volée pour cette septième saga. On enchaîne de la baston avec les instants de course (qui me manquait depuis la quasi-légendaire tome 2) et à un début d'autre baston qui s'annonce bien menée, comme d'habitude dans ce manga. N'oublions pas les différents nouveaux personnages, avec toujours des looks complètement barrés mais qui défoncent toujours autant la classe ! Les dessins d'Araki semble toujours évoluer vers un trait plus fin, qui donne de très bonnes gueules aux personnages. Bref, j'ai hâte de lire le tome 8. → 9
T8 : → 9
T9 : → 8

Annotation :

Pour les tomes 11 à 16.

T11 : Les combats de fou de nos héros continuent dans ce volume, avec un affrontement encore plus long que d'habitude, celui face à D'Arby, et ici, c'est pas une baston comme d'habitude, puisque ce duel se base sur les paris que se font les personnages. Et comme d'habitude, ça a beau être complètement barré, on se laisse prendre au jeu très vite, surtout qu'ici, ça finit en partie de poker qui n'est pas sans rappeler les plus grands moments de Yugi-Oh. (surtout avec ce bluff monumental de Jotaro) N'oublions pas que le tout est rythmée par des retournements de situations bizarres, et n'oublions pas non plus les déformations de corps bizarre. Bref, toujours à lire. → 9
T12 : → 9
T13 : → 8
T14 : → 9
T15 : → 9
T16 : → 9

Annotation :

(VO) Pour les numéros #1 à #9.

#1 : → 8
#2 : → 8
#3 : → 9
#4 : → 9
#5 : → 9
#6 : → 9
#7 : → 9
#8 : La série est toujours quasiment parfaite, et c'est incroyable de voir une telle qualité, toujours constante : ce huitième numéro met donc en scène Kamala Khan faisant équipe avec Lockjaw, pour enquêter sur l'Inventor, ennemi absolument improbable de notre héroïne préférée. La série est donc toujours un grand plaisir à lire, surtout avec un personnage principal aussi attachant, et aussi finement écrit ; surtout que nous n'en sommes plus vraiment à la phase des débuts de Kamala en tant que Ms. Marvel, mais plus à une certaine confirmation. Bon, sinon, l'autre gros point fort du numéro, c'est quand même le retour d'Adrian Alphona aux dessins, qui démontre encore toute la mesure de son talent. Ce type est franchement balèze, et il déforme notre héroïne de manière brillante, qui par moment me rappelle le corps de Mr. Fantastic qui fait parfois n'importe quoi. Vraiment, un grand plaisir de lire cette série, j'ai tellement rien à dire mis à part qu'il faut se jeter dessus. → 9
#9 : → 8

Annotation :

Pour la VF.

Annotation :

--> Pour la réédition.

Une très bonne histoire sur le Silver Surfer en fin de vie, vraiment bien fichue, avec des bonnes idées sur ce que ferait le Surfer avant de mourir ; JMS nous sert une histoire touchante, et vraiment agréable à lire. En plus, on se paie les peintures d'Esad Ribic pour illustrer l'histoire, et c'est juste sublime, le mec nous fait de ces pages qui restent gravés dans l'esprit longtemps après la lecture ; on ressent vraiment tout ce pouvoir cosmique qui émane du Surfer, et la lecture en devient magnifique. Bref, si vous avez une BD récente sur le Silver Surfer à lire, c'est celle-ci.

Annotation :

(VO) Pour les numéros #1 à #5.

#1 : → 8
#2 : → 8
#3 : → 9
#4 : Avec ce 4ème numéro, la mini sur le Winter Soldier approche de sa conclusion. On y retrouve donc nos 3 personnages principaux, l'agent Ran Shen, Bucky le Winter Soldier, et Mila Hitzig, qui sont face au mec de l'HYDRA. L'intensité de l'action atteint son paroxysme : personnellement, j'ai été happé par cette lecture, me demandant ce qu'il adviendra de ces personnages. On enchaîne donc des petits retournements de situations, et les séquences spectaculaires, ainsi que les bons dialogues et les scènes d'actions. Les personnages sont vraiment bien mis en avant, et intéressants à lire tant ils sont bien écrits, notamment Bucky qui évolue bien durant cet épisode. Et puis merde, y a des gadgets cools, et un méchant à pouvoir psy ! Bref, c'est vraiment une bonne lecture. Roland Boschi est vraiment très bon aux dessins, surtout qu'il est bien colorisé par Chris Chuckry. En tout cas, on espère que la conclusion sera à la hauteur, et qu'on aura plus de mini dans ce style à l'avenir. → 9
#5 : Nous y voilà ! Il est temps pour Remender de conclure sa mini-série sur le Winter Soldier qui est en fait un genre de prologue à l'arc de Captain America qui fait apparaître Ran Shen. (parce que oui, c'est pas vraiment sur le Winter Soldier le héros, je le rappelle) Du coup, on a vraiment une bonne conclusion, qui met en scène la fuite de Ran Shen, Mila Heitzig, et Bucky Barnes ; c'est encore une fois très très bien foutu, bourré d'action, avec de bons rebondissements, et des personnages vraiment très intéressants ; même Nick Fury Sr. , a un rôle important à jouer dans ce numéro. La lecture est toujours très plaisante, tant le rythme de l'intrigue est assez fou. De plus, Remender a l'intelligence de faire un récit que l'on peut lire complètement indépendamment de la continuité Marvel, mais qui n'est pas sans lien avec son run sur Captain America. Aux dessins, Roland Boschi est vraiment l'homme de la situation tant son style colle au côté espionnage 60's James Bondien de la mini. Il fait de très bonnes séquences d'actions, et on se régale à les lire. En bref, Winter Soldier – The Bitter March fut une excellente mini-série, pleine d'action/espionnage, de bons moments de caractérisations, le tout très bien dessiné. → 9

Annotation :

(VO) Pour les cinq premiers one-shot.

The Multiversity #1 : → 9
The Multiversity : Society of Super-Heroes : Conquerors of the Counter-World #1 : Nouveau numéro de Multiversity, et donc nouvelle Terre que nous allons découvrir au travers de cet épisode : cette fois-ci, Grant Morrison accompagné de Chris Sprouse nous présente la Terre-20, une Terre dont l'univers fait entièrement référence au Golden Age, avec comme équipe de héros, la Society of Super-Heroes (dit SOS) , dirigé par l'excellent Doc Fate, avec Atom, les Lady Blackhawks, Abin Sur qui est en fait le Demon version Green Lantern, et Immortal Man. Et cette équipe va devoir faire face à une menace de taille, puisqu'il s'agit de Vandal Savage qui se ramène d'une Terre parallèle. Voilà en gros le pitch de ce second épisode de Multiversity ; et c'est très plaisant à lire, bien que l'ensemble n'ait pas grand chose à voir avec l'épisode précédent (mais on s'en doute, c'est une série de one-shot que nous lisons) . La lecture est donc très efficace, et accessible, pour du Morrison ; l'auteur n'essaie pas trop de nous perdre dans ces concepts décalés et parfois très perchés ; ici, ça reste divertissant à lire, surtout que les personnages sont intéressants à suivre, et les dynamiques qu'il y a entre eux sont bien écrites. Et évidemment, ce qui est toujours très cool, c'est bien entendu toute l'ampleur que prend le récit ; on parle tout de même d'affrontement entre 2 terres, de multiverse, tout ça... Aux dessins, Chris Sprouse s'en sort très bien, et rend bien crédible les délires du golden age dans un comic moderne, avec notamment des petits effets visuels très sympas. Il se débrouille aussi très bien pour les scènes d'actions, assez dynamiques et lisibles en même temps, cela en fait quelque chose d'assez agréable à lire. De plus, il est également très bien colorisé par Dave McCaig. Bref, encore un très bon numéro de Multiversity, qui jusque-là tient toutes ses promesses ; hâte de lire le prochain one-shot ! → 8
The Multiversity : The Just #1 : → 9
The Multiversity : Pax Americana #1 : → 9
The Multiversity : Thunderworld Adventures #1 : → 9

Annotation :

(VO) Pour les numéros #1 à #9.

#1 : → 8
#2 : → 8
#3 : → 8
#4 : → 8
#5 : → 9
#6 : → 9
#7 : → 7
#8 : Second épisode de la nouvelle équipe créative officiant sur le personnage ; et j'avoue être un peu plus convaincu qu'avec le #7. Déjà, en terme de mise en scène, on part sur quelque chose d'assez intéressant, puisque tout le numéro est vu par l'angle de différentes caméras, que ce soit celles de portables, des télévisions, ou encore des drones qui accompagnent Moon Knight dans sa mission du jour, qui consiste à péter la gueule à un preneur d'otage. Du coup, c'est remarquablement bien joué de la part des auteurs de tout nous montrer sous cet angle : seul reproche, c'est parfois un peu confus au niveau des dialogues, car même si à chaque personne correspond une police d'écriture et une couleur différente, c'est parfois pas évident de saisir qui parle, et ça peut vite devenir énervant. Bon, je n'ai pas grand chose d'autre à dire sur cet épisode : peut-être manque-t-il un peu de subtilité ? Je ne sais pas, mais ça reste dans l'ensemble de qualité, et ça se laisse lire très agréablement, surtout que j'aime toujours autant l'ambiance particulière du titre. Il y a aussi peut-être le fait de voir moins de trouvailles visuelles, au niveau des cadrages, que lors du run d'Ellis et Shalvey. Bref, donc, une série toujours sympa, j'ai hâte de voir quel sera le prochain numéro de Brian Wood et Greg Smallwood, qui, même s'ils n'égalent pas leurs prédécesseurs, font tout de même un travail remarquable et intéressant sur le personnage. → 8
#9 : → 8

Annotation :

Pour le tome 5.

Annotation :

(VO) Pour les numéros #1 à #4.

#1 : → 9
#2 : → 9
#3 : Troisième numéro de Starlight et Mark Millar accompagné par Goran Parlov (toujours colorisé par l'excellent Ive Svorcina) continuent leur sans-faute, tant la série est plaisante à lire. Je me répète sans doute, mais j'ai encore l'impression de voir une intrigue type d'un film d'aventure/science-fiction des années 80-90. Notre duo de héros est toujours attachant, alors qu'ils découvrent la planète sur laquelle Duke avait déjà été il y a des années, qui a du coup bien changé, alors qu'une menace se profile au loin. Le numéro se lit tout seul, sans temps mort, avec des scènes d'actions super réussis, et même s'il ne se passe pas grand chose, c'est vraiment super agréable à lire, et on a très envie de lire la suite ; rien de plus à dire dessus, Starlight est clairement dans le haut du panier des nouvelles séries de l'année. → 9
#4 : Et hop, on reprend Starlight avec un numéro quatre encore une fois excellent ! Mais qu'est-ce qui se passe ? Comment est-ce possible ? Starlight serait-elle la meilleure série de l'année ? Et bien jusque-là, clairement, même si ce n'est malheureusement qu'une mini. L'épisode est super rythmée, on découvre toujours un peu plus l'univers de la série alors que Duke McQueen s'échappe de sa prison et rejoint la rébellion, ce qui donne l'occasion de voir un excellent discours de ralliement en fin de numéro, et donne évidemment automatiquement envie de se jeter sur la suite. Mais sinon, il y a de bons moments d'action, de bons dessins, de bonnes couleur, et un plot, qui même si assez simple et cliché de l'aventure cosmique, reste super plaisant à lire pour cause d'un héros attachant hyper cool et d'autres détails sympas. Je reprocherai au numéro un cliff de fin auquel je m'attendais, mais sinon, l'ensemble est d'une telle efficacité qu'il n'y a pas à rechigner, Starlight, c'est l'une des meilleurs séries de Mark Millar, et c'est d'un tel plaisir à lire... → 9

Annotation :

Ça y est ! Donjon, c'est fini ! Et pour conclure cette longue saga, Trondheim et Sfar nous offre deux volumes de hautes volées ! (Bien que j'ai une petite préférence pour celui que je m'apprête à critiquer) Les deux racontent la même chose, mais se complète. Ainsi, « Les Hauts Septentrion » , comme il s'intitule, s'intéresse en particulier au sort de Marvin Rouge et de Zakutu, que l'on peut en fait considérer comme les deux héros de la saga Crépuscule, tant leurs apparitions étaient récurrentes et leurs rôles majeurs. Et pour la fin d'une série qui a duré un peu plus de 15 ans, les auteurs se sont lâchés ! Déjà, aux dessins, ça fait plaisir de voir Alfred s'éclater dans ce registre ! Le volume est rempli de gros combats, et ses dessins sont vraiment somptueux, et rendent parfaitement justice à la tonalité épique du volume ! La lecture est très fluide, et lorsqu'on est lancé dans le combat final qui arrive en fin de volume, on a l'impression que ça ne s'arrête jamais ! Et puis cette pleine page ! Et cette double-page ! Bref, une partie graphique vraiment magnifique, qui sert une conclusion digne de ce nom pour une excellente BD (après, je lis Donjon depuis ma tendre enfance, je suis peut-être un peu trop subjectif, mais avoir une conclusion de cette teneur fait vraiment plaisir à voir après tant d'attente) . Sinon, le scénar est à la hauteur de ce qu'on peut attendre d'une conclusion épique : gros combats qui réunissent pas mal de personnages connus de la saga, mais surtout sans oublier l'humour qui a fait tout le charme de la série tout du long de ses 36 tomes. En bref, une très bonne conclusion, surtout que l'exercice de mettre un terme à Donjon ne paraissait pas des plus faciles, mais Trondheim et Sfar s'en sont bien sortis, surtout qu'aux dessins, Alfred assure vraiment, donc c'est à lire, surtout pour ceux qui ont lu tout Donjon. Pour les autres, lisez Donjon.

Annotation :

Sans doute l'un des meilleurs tomes de Captain Biceps, avec cette fois-ci, non plus des gags en une page, mais une suite de petites histoires qui forment une intrigue globale, et c'est franchement chouette à lire, super beau, très drôle (à condition d'aimer l'humour Tebo, ce qui est peut-être pas le cas de tout le monde) , et ce nouveau format d'histoire fonctionne à merveille pour Captain Biceps.

Annotation :

Un comic de SF hyper cool, avec pleins de personnages intéressants et bien écrits, et des enjeux complexes très prenants. Les dessins et la colo sont aussi très chouettes.

Annotation :

(VO) Pour les numéros #1 à #14 + Annual #1.

#1 : → 8
#2 : → 8
#3 : → 8
#4 : → 7
#5 : → 8
#6 : → 8
#7 : → 8
#8 : → 7
#9 : → 8
#10 : → 8
Annual #1 : → 8
#11 : → 8
#12 : → 9
#13 : → 9
#14 : Depuis quelques numéros, on enchaîne les révélations et autres twists dans Fantastic Four, faisant de la série quelque chose de vraiment très cool à lire, au niveau du rythme de la narration, qui, même si légèrement ralenti dans ce numéro, continue de fonctionner avec perfection. On découvre donc enfin qui est ce mystérieux John Eden, quelles sont ses origines, pourquoi il en veut toujours autant à Reed Richards, et qu'est-ce qu'il fout avec les héros d'Heores Reborn... C'est donc un numéro parfaitement orchestré par James Robinson, qui montre que ce qu'il a construit jusqu'alors va vraiment servir pour la suite et fin de son run. Ce numéro n'avance pas non plus tant que ça au niveau de l'intrigue, mais le scénariste tient vraiment bien les personnages des 4 fantastiques, et arrive à faire quelque chose de très intéressant, tout en agrandissant leur mythologie et leur rendant hommage à la fois, notamment avec John Eden qui devient en quelque sorte un méchant ultime des 4F, et j'avoue trouver l'idée séduisante... Même si j'ai hâte de découvrir ce que fait Doom, et si cela aura un lien avec tout ça... Bref, la série Fantastic Four reste à l'heure actuelle l'un des meilleurs trucs qu'on peut lire chez Marvel, surtout avec cette montée en puissance des enjeux de l'intrigue depuis quelques numéros (alors qu'on commençait un peu à s'endormir dans les ties-ins à Original Sin) . Aux dessins, Leonard Kirk fait toujours quelque chose d'excellent sur la série, j'espère qu'il aura le temps de rester jusqu'aux derniers numéros. → 9

Annotation :

(VF) Pour les numéros #6 à #15.

#6 : → 8
#7 : → 8
#8 : → 8
#9 : → 9
#10 : → 9
#11 : → 7
#12 : → 8
#13 : → 7
#14 : . → 8
#15 : Rick Remender nous offre un épisode de transition ce mois-ci, et permet de conclure l'arc sur Nuke tout en terminant la mise en place de celui sur l'Iron Nail : l'arc sur Nuke en lui-même était une grosse transition pour passer de la dimension Z à cette histoire plus importante sur l'Iron Nail, qui semble impacter pas mal l'entourage de Cap, et aussi le SHIELD. Donc, pas non plus l'épisode du siècle, mais sur certains points, Remender s'en sort vraiment pas mal ; déjà, il se permet d'écrire correctement Nuke, et l'humanise pas mal dans son récit, sa relation avec Cap America est même intéressant, aussi. Il y a aussi toutes ses réflexions sur la guerre qui sont intéressantes. Bref, pas mal de choses intéressantes dans cet épisode, mais on sent clairement que c'est de la mise en place pour la suite, et que ça va bien monter en puissance, notamment au vu du cliff de fin, qui donne pas mal envie, en plus de confirmer que décidément, Remender aime vraiment les idées barrés. → 7