Les meilleures introductions de jeux vidéo selon BenjiDeRiv

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Les 30 premières minutes sont une dinguerie : éblouissantes, effrayantes, surprenantes, Best intro ever pour planter le décor et l'univers. (tellement que j'ai quitté le jeu que j'avais eu gratos sur Epic, pour aller l'acheter sur Steam)

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Le fameux phare de Bioshock mais cette fois on décolle ! Et là, découverte de la splendide et hallucinante Columbia.

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Une série qui spoile sa fin durant les 5 premières minutes du 1er épisode ? Et oui, Life is Strange le fait, mentionnant dès sa première cinématique son grand final, ainsi que son antagoniste principal (pour qui est attentif aux mots). Rien que ça ! Puis Max sort de classe, et met ses écouteurs, vous permettant d'écouter tout de suite le premier morceau de l'OST qui vous hantera à tout jamais après avoir joué à Life is Strange.

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Cinématique du crash d'avion puis le titre apparait + phase de gameplay, le fameux phare et la découverte de Rapture. Résumé rapide mais vous la connaissez tous déjà non ?

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Une longue cinématique qui envoie du lourd suivi d'une première phase de gameplay baignant dans un beau coucher de soleil en discussion avec Vesemir, puis à la poursuite d'un griffon. Ca y est, je suis devenu Geralt au plus profond de mon être et suis prêt à jouer 100h sans pause pour aller au bout de l'aventure.

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Une cinématique envoie Bruce Wayne en prison. Titre. Hugo Strange nous laisse seul face au miroir. On se balance pour tomber d'une chaise et rentrer dans la queue-leu-leu des prisonniers d'Arkham pendant que le générique défile. On baigne déjà totalement dans l'ambiance. Rocksteady au sommet.

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"But instead... adventure found me". Cinématique du naufrage de l'Endurance absolument légendaire que j'ai regardé 1 million de fois sur youtube avant la sortie du jeu. Puis la première phase de gameplay commence avec une Lara pendue à l'envers dans un décor glauque au possible, l'obligeant à prendre feu pour se détacher et aller s'écraser 5 ou 10m plus bas en s'enfonçant un pieu dans le ventre. Dans le genre marquant... On fini par s'échapper de cette grotte manquant de se faire attraper par des psychopathes ou écraser par des rochers. On sort à l'air libre, le titre s'affiche dans le décor à côté de nous. C'est parti !

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Batman fonce à toute allure au volant de sa batmobile à l'asile d'Arkham. Sa nouvelle prise, rien de moins que le Joker. Une fois ferré, Le Joker est conduit à sa cellule mais Batou l'accompagne pour être sûr que le boulot sera bien fait (spoiler : il ne sera pas bien fait)

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Ces images sont si belles. Cette musique est si belle. Cette voix est si belle. Même cette chute est si belle. C'EST BEAU !

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On se réveille dans une chambre, puis une voix robotique nous fait passer un test. Ensuite, il faut dormir ! Mais lorsqu'on se réveille, l'état de la chambre n'est plus du tout le même, totalement délabrée. Des années se sont passées ? En tout cas on fait la rencontre du très drôle Weahtley qui va déplacer la chambre qui tombe en ruine dans les méandres du laboratoire d'Aperture Science, mais qui va causer plus de mal que de bien.

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"Il s'appelait Geralt de Riv. C'était un sorceleur, un tueur de monstre"
Cinématique d'intro reprenant fidèlement un passage d'une des nouvelles de Sapkowski. 7 (!) savoureuses minutes se terminant par un dernier sursaut à coup de griffure.

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On découvre dès son intro que le sous-titre de The Witcher 2 n'est pas mensonger :
Dans une superbe cinématique, on assiste à l'assassinat d'un Roi, qui prenait du bon temps sur son Yacht (enfin navire), par un collègue sorceleur à Geralt.

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Surtout marqué par son générique d'introduction, durant lequel notre héros se fait "réparer" parce qu'il vient de se faire défoncer durant une courte phase de gameplay introductive. Sur un régal d'OST.

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L'iconique Robbie Williams.

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Scène cocasse pour l'avocate Kate Walker qui, à peine débarquer en Europe, regarde des automates mener un enterrement, sous une pluie fine, dans une ambiance lugubre.

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Une badass et gothique Lara fait sauter le manoir Croft, dos à l'explosion, sur le Requiem de Mozart.
(je ne m'en souvenais pas mais cette cinématique d'intro ne se montre que si on patiente suffisamment longtemps sur le menu principal)

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Cinématique présentant tous les personnages 2mn durant. (Pit, le goat)

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Le titre s'affiche. C'est le menu ? Ah non le jeu a déjà commencé ! On plonge alors dans le livre d'Edith Finch, et on arrive sur une maison (et une boite aux lettres) vraiment pas traditionnelle (celle de l'affiche !). Et tous ces textes qui apparaissent dans le décor pour nous narrer l'histoire. Comment ne pas avoir envie de dévorer ce jeu ?

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Jade et son ami font du yoga, mais les DomZ attaquent ! On est tout de suite dans le vif du sujet puisque rien que dans les 3-4 premières minutes on nous présente tout de suite l'univers, les personnages, les combats, l'importance des perles, de l'appareil photo, du gouvernement, etc...

Annotation :

- On a vraiment la belle vie, petit frère.
- La meilleure... Et puisse-t-elle ne pas changer.
- Et puisse-t-elle ne pas nous changer.

*Ezio's family*

(*frissons*)

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LIGHTS OUT ! GUERRILLA RADIO ! TURN THAT SHIT UP !!

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Une Lara jeune et effrayée dans un avion pris en pleine tempête, laisse sa place à notre Lara héroïque et courageuse, escaladant des montagnes et faisant même des acrobaties pour le fun. "Je t'assure Zip, c'est comme monter des marches, en bien plus amusant."

Annotation :

Une cinématique sous forme de pub présente la technologie Memorize. Puis le générique, l'univers et le gameplay se découvrent dans une première phase où notre héroïne semble sur le point d'être lobotomisée et tuée, avant de prendre la fuite.

Annotation :

son générique d'intro sur fond de Requiem, mettant en scène le 1er meurtre du serial killer très badass que l'on poursuivra durant l'aventure. Ca met direct dans le bain.

Annotation :

On se réveille, on prend en main le gameplay (*gameplay*), on prépare la fête à la maison, on s'amuse avec les kids, puis on file au centre commercial, et là c'est le drame ("JASON!"). Suivi d'un générique de dépressif et d'une pluie qu'on ne quittera plus.

Annotation :

L'arrivée en prison, et la prise en main chacun de notre côté du personnage que l'on va incarner.

Annotation :

Una volta che avrai !
Spiccato il volo, deciderai !
Sguardo verso il ciel, saprai !
Lì a casa il cuore sentirai !