Les meilleures séries de 2020 selon fan_2_mart1

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Saison 10 - 8

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Saison 3 - 8

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Mini-série qui replonge à l'aube du militantisme féministe US ( au tournant des années 60/70). Grâce au parti pris habile de suivre le poids de vue d'une femme au foyer plutôt réac (mais subtile), une série prenante et plutôt subtile, qui résonne férocement avec l'actualité.

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Finalement plutôt prévisible, mais tout de même très entraînante plongée dans le monde des échecs, avec le caractère obsédant et dévorant de la passion comme toile (d'araignée) de fond. N'échappe pas à une certaine glamourisation du sujet, mais foutrement efficace.

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Saison 5 - 7

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Quelques épisodes pour retracer la naissance d'une conscience de classe ouvrière en Europe, les modes d'organisation pour ne pas se laisser marcher abusivement sur les pieds, mais aussi et surtout les stratégies du patronat pour découper et s'approprier le temps humain, même ça, oui.

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Binge-watché en bonne compagnie avec mon vieux comparse geek-otaku chevelu. Un peu le foutoir à suivre, mais certains épisodes sont assez jouissifs et délirants (le match de baseball, ou football, j'sais plus). Souvenir tout de même confus à la vinasse et à la pizza faste.

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Plutôt une déception, venant du créateur d'Adventure Time. La jonction entre dessin animé délirant et podcast, originale et aventureuse, ne prend pas tout à fait. Mais surtout, le verbiage new age finit par agacer, comme du Linklater bien après la bataille, et bien moins inspiré. Un mini-trip tout de même

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Forcément décevant, vu les noms convonqués (Simon & Roth). Dystopie que j'ai mis du temps à prendre comme telle. Un peu trop de pompiérisme américain (jeu d'acteur et mise en scène trop pro/élégante chromé), mais tout de même des problématiques historiques qui interrogent, lancées en vrac.

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Pas franchement féru de basket, j'ai quand même suivi sans trop de désagrément ladite saga. Plein de choses intéressantes, en biais (sur le contexte 90s). Le tout est amené comme un film de casse avec des protagonistes bien qualifiés... Mais le manque de recul critique (puisque ça n'est pas le propos) sur l'indécence du monde du sport m'ont laissé un peu pantois, surtout dans les premiers épisodes

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Discrète propagande israëlienne, avec le Mossad qui ne se donne pas un air angélique, mais pragmatique et irremplaçable ? Tout au moins, une plongée assez rare dans le conflit dans les terres de l'état islamique, au scénario plutôt prévisible mais servant de fil conducteur à une visite (simplifiée?) des forces en présence.

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La baudruche : très peu de blagues drôles, énormément de lourdeur. Une satire de la Space Force américaine ? Non, plutôt un mélange de politiquement très correct (woke approved) et de "réalisme" géopolitique sans grande nuance (bouh, les méchants chinois).

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La méga-foirade de l'année. La saison 1 passait encore, avec un Gervais se prenant au sérieux et s'essayant à un humour laissant un peu plus filtrer sa vision de l'humanité (une bande de losers et d'éclopés). Là, le pathos est abusif, les gags unilatéralement foireux et le tout confine à une répétition grotesque du même schéma, d'épisode en épisode, jusqu'à susciter le rire nerveux. Quelle dégringolade depuis The Office...

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A vrai dire, juste vus les premiers épisodes : l'impression de vivre un moment historique qui se transforme instantanément en mauvaise blague. Mais autour de moi, tout le monde était fan, j'ai donc du rater le coche.