Les meilleurs films de 1982 selon Frakkazak

Annotation :

Fantastique Plastique Antarctique

Énième visionnage du chef d'oeuvre de Carpenter, et toujours autant de plaisir et de frissons. High concept, paranoïa efficace, et surtout le travail monumental de Rob Bottin sur la créature qui n'a pas pris une ride dans ses effets indescriptibles et uniques. Le tout dans une 4K qui sublime l'ensemble et rend la terreur plus palpable encore. Un bijou indémodable

Annotation :

Souvenir lointain de mon adolescence, le revoir n'a pas changer ma vision. Le film est dur, sombre, et à hauteur de chien. Suivre Rowf, Snitters et Tod est éprouvant. On évite toutefois la diabolisation de l'homme qui eut été facile, par un éventail d'intervenants ayant tous leurs opinions sur nos canidés... Ne reste que ces satanés white coats... Magnifique

Annotation :

Imagerie puissante, musique qui nous transporte, costumes frisant avec brio avec le kitch et l'authentique, Thulsa Doom impérial et Schwarzy frappeur de chameaux. Le film a de la gueule et de la hargne, mais je trouve tout de même qu'il a un léger problème de rythme. Mais on ne le remerciera jamais assez d'avoir popularisé la fantasy au cinéma.

Annotation :

Je ne l'avais vu qu'une fois étant gamin, et il m'avait marqué sans que je ne me rappelle pourquoi. Après mon visionnage d'hier je sais !
L'univers créé est magnifique, vivant, vibrant. Les designs des créatures, des plantes et des décors sont tous plus fous les uns que les autres. En revoyant le film, j'ai tout de suite pensé à toutes ces œuvres qui par la suite s'inspirèrent directement de l'œuvre de Jim Henson (Avatar, Warcraft et ses arrakoas...).
Outre cet univers magnifique, la prouesse de faire un film de cet acabit entièrement en marionnettes est folle. Cela rend beaucoup mieux que la plupart des CGI modernes, les skekis sont palpables dans leur dégueulassitude, et les podlings débordent d'une énergie qui se perçoit à l'écran (seuls les visages des gelflings me sortent un peu de l'œuvre)
Ajoutez à cela une histoire de conte joliment apportée et des musiques enchanteresses, et vous obtenez The Dark Crystal, un des fondement du genre fantasy au cinéma avec Conan.

Par ailleurs je vous recommande fortement le podcast Total Trax de Rafik Djoumi et Mister D sur les musiques de cinéma, dont le 5ème épisode sur la fantasy m'a donné envie de revoir le film.

Annotation :

Cf Critique

Annotation :

Malgré toutes les qualités évidentes du film, de sa folie propre à Herzog et Kinski en passant par une histoire passionante et des décors plus vrais que nature, je n'ai pas pu être happé dans le film. Sans doute en partie à cause de ces redoublages (en anglais comme en allemand). Toujours est-il que la réalisation du film semble avoir été aussi dantesque que le projet du personnage éponyme, et que ça, ça fait plaisir à voir.

Annotation :

Cf Critique

Annotation :

Si ça démarre plutôt bien, avec la patte de Spielberg clairement repérable dans cette vie de banlieue américaine des 80s et dans cette incursion du fantastique dans le cadre familial, ça prend même de très bon entournures dès que l'esprit frappeur passe la seconde, avec cette scène de tornade agressive. Puis le film se pose dans son deuxième tiers, avec une incursion gore sans doute du à Hooper qui fait son petit effet, avant de légèrement se ramasser sur le dernier tiers qui tire en longueur pour pas grand chose. Une bonne expérience malgré tout.

Annotation :

De mon visionnage adolescent, il ne me restait que cette image, marquante, d'un gamin mort duquel crâne sortent insectes et serpents. Une image toujours aussi malaisante deux décennies plus tard, alors que je me relance dans cet unique épisode sans Michael Myers de la saga Halloween. Un thriller mystico-paranoïaque où la figure du Mal prend des airs de PDG en quête de divertissement, et où les petites têtes blondes en prennent pour leur grade. Le tout a malheureusement un petit coup de vieux, malgré une histoire pour le moins originale. Quant au sous-titre, rien à voir avec la choucroute.

Annotation :

Regardé suite au visionnage de l'épisode de Voir (excellente série Netflix produite par Fincher ) qui lui est consacré, 48 Heures est effectivement centré sur la question raciale et sa perception à l'aune des années 80. Outre ça, on a un buddy movie assez classique où Nolte et Murphy se tirent la bourre en tabassant du vilain.

Annotation :

Le concept est sympathique: réaliser un film en incrustant des scènes de classiques Universal, permettant ainsi a Steve Martin de dialoguer avec Bogart, Cagney, Douglas et j'en passe... Mais passé le gimmick, on a pas grand chose à se mettre sous la dent. L'enquête est inintéressante, et l'humour trop timide pour faire mouche (il aurait pu aller plein ZAZ). Bof.

Annotation :

Le premier Vendredi 13 était nase, une pâle resucée d'Halloween sans aucune idée de mise en scène et n'ayant pour lui que son thème principal à base de chuchotements. Mais vu que Jason n'apparaît pas dedans et que lui et Crystal Lake sont de telles icônes de la pop-culture et du cinéma d'horreur, je me devais de voir l'épisode 2.

Le second Vendredi 13 était nase, une pâle resucée d'Halloween sans aucune idée de mise en scène et n'ayant pour lui que son thème principal à base de chuchotements. Mais vu que Jason n'a pas encore son masque de hockey et que lui et Crystal Lake sont de telles icônes de la pop-culture et du cinéma d'horreur, je me devais de voir l'épisode 3. Verdict:

Le troisième Vendredi 13 était nase, une pâle resucée d'Halloween sans aucune idée de mise en scène et n'ayant pour lui que son thème principal à base de chuchotements.