Les meilleurs films de maison hantée selon chtimixeur

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Une préquelle située en 1988, qui ne se contente plus des seules caméras de surveillance : désormais, comme dans tout bon found footage qui se respecte, on a droit à des scènes filmées en vue subjective, grâce au bon vieux camescope des familles.
Le résultat est encore plus terrifiant que les deux premiers épisodes.

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Comme la Maison du Diable, c'est un film d'ambiance dans un manoir, bien plus porté vers la folie et la parano que vers l'horreur pure. La chanson est géniale, les enfants sont bien castés, mais le film reste bien trop bavard, et la fin est toute moisie. Détail amusant : dans la scène où l'héroïne se promène dans la maison avec un chandelier à la main, il y a pas mal de faux raccords en ce qui concerne la taille des bougies...

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Déjà, on oublie le titre français, qui n'a strictement rien à voir avec l'histoire. Pour résumer, il s'agit d'un film à l'ambiance très 70's dans lequel un vieux pianiste va essayer de savoir pourquoi il entend des bruits bizarres dans le manoir gothique qu'il a loué après la mort de sa femme et de sa fille. Ici, tout n'est que suggestion ou presque, et à l'exception d'un plan à la fin, il n'y a pas de véritable jump scare. J'ai beaucoup aimé le passage où le héros se rend pour la première fois dans les combles, et la scène dans le puits m'a un peu fait penser à Ring. A côté de ça, la séance de spiritisme a pris un petit coup de vieux, et la fin est ratée, avec son incendie inexplicable et son explosion complètement ridicule. C'est dommage, car juste avant, le fauteuil roulant maléfique et le lustre en cristal qui se balance tout seul avaient créé une bonne petite ambiance horrifique...

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Ce film de maison hantée qui se nourrit de ses occupants et les rend fous m'a rapidement fait penser à The Shining, et je ne suis absolument pas surpris d'apprendre que Stephen King l'aime beaucoup, car les similitudes avec son roman sont nombreuses. Oliver Reed a une gueule burinée très 70's, et les scènes où il est mort de peur face au mystérieux chauffeur de corbillard sont excellentes. J'ai particulièrement le passage où le père tente de noyer son fils dans la piscine à l'eau verte, et celui où la grande maison délabrée fait sa mue (une idée géniale et malheureusement sous-exploitée).
Par contre, le twist final est prévisible pour quiconque a regardé un certain film d'Alfred Hitchcock, et j'ai deviné que le film s'achèverait pas un lent travelling sur les photos de la chambre de Madame Allerdyce, vu que le réalisateur s'était longuement attardé sur elles à la 22ème minute. Les apparitions du fameux chauffeur souriant sont frustrantes, car le monteur coupe systématiquement après coup, et on n'a aucune explication sur ce que l'on vient de voir (rêve, réalité ? Aucune idée !). La scène avec le cercueil est ainsi complètement surréaliste et digne d'un mauvais épisode de série télé...
La photographie est quant à elle absolument ignoble : les scènes lumineuses sont noyées sous une espèce de filtre flou et aveuglant, ce qui donne un aspect très téléfilm à un film qui est pourtant sorti en salles (il paraît qu'on appelle ça un filtre diffuseur).
Sinon, ça m'a fait plaisir de revoir Bette Davis, mais si je suis honnête, son personnage ne sert pas à grand chose, et le film aurait été pareil sans elle. Notons aussi la présence de de Burgess Meredith dans un petit rôle bien éloigné du coach de Rocky, pourtant sorti la même année.

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Après une première demi-heure flirtant avec les codes du cinéma d'horreur, Mankiewicz s'intéresse de près à la relation fusionnelle qui va lier une veuve et... un fantôme !
Les éclairages à la bougie sont remarquables, et le thème musical de Bernard Herrmann qui habille les scènes romantiques est une petite merveille.

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Un film d'horreur qui fait peur ! Ethan Hawke est parfait dans ce rôle d'écrivain tourmenté, les jumpscares sont nombreuses, et la musique renforce le côté lugubre du scénario. Dommage que la fin n'ait pas été un peu plus gore… A noter la présence de Ziggy de The Wire, dans le rôle d'un flic !

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Bonne mise en scène, joli manoir gothique, mais tout comme dans "la Nuit de tous les mystères", il y a tromperie sur la marchandise. Ce n'est pas un film d'horreur, mais un banal thriller psychologique, avec une héroïne bien interprétée mais tout de même saoulante. Hormis la scène de la porte qui se déforme, il n'y a pas de paranormal, et c'est bien dommage, car c'est ce que j'étais venu chercher dans ce film.

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Je suis partagé. Je me suis ennuyé comme jamais pendant plus d'une heure, et j'ai trouvé que tous ces plans fixes interminables étaient d'une prétention sans nom. Sérieux, voir une fille manger de la tarte pendant 5 minutes 30 non stop, c'est juste pas possible. Les dialogues en espagnol non sous-titrés et le monologue philosophique sur la vacuité de l'existence ne valent guère mieux, et je peux vous dire que le bouton avance rapide m'a été plus utile que jamais durant ces 65 premières minutes...
Mais voilà, à côté de ça, ce fantôme inexpressif et immobile dégage une mélancolie qui m'a touché. Le réalisateur a réussi à nous montrer que la vie d'un fantôme, c'est juste lent et monotone, et que le temps a une tout autre signification pour ces entités drapées de blanc qui finissent par oublier ce qu'elles font là. La fin est particulièrement belle, et ça m'aurait presque donné envie de revoir immédiatement le film, mais faut pas déconner non plus...

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Il ne s'agit en aucun cas d'un film d'épouvante, mais davantage d'un thriller à la Hitchcock, avec ça et là quelques scènes vaguement horrifiques. En ce qui concerne les acteurs, Vincent Price mis à part, le reste du casting est assez cheap. L'héroïne principale passe son temps à nous percer les tympans avec ses cris stridents, mais elle est tellement mal dirigée qu'elle le fait souvent avec plusieurs secondes de retard.
Finalement, mon seul vrai souci, c'est que ce film avait un réel potentiel pour effrayer le spectateur, et qu'au final, il ne fait que le distraire. Le rythme est trop lent, et à l'exception de Nora Manning, aucun personnage ne semble craindre pour sa vie.

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Ce film de maison hantée a une ambiance très 70's, et j'ai vraiment aimé certains choix de mise en scène, notamment lors de la toute première scène de dialogue. La bande son crée une ambiance assez sinistre, et même si on n'a jamais vraiment peur, on finit par ressentir les mauvaises ondes qui se dégagent du manoir de Hill House. Cela étant, les prières et autres séances de spiritisme ont pris un gros coup de vieux, et ça m'a saoulé d'entendre les deux actrices crier de tous leurs poumons à plusieurs reprises comme dans tous les vieux films d'horreur. La brune avec sa choucroute sur la tête aurait pu jouer dans une parodie de Dracula, et justement, en parlant du célèbre vampire, le bref passage où l'on voit les yeux éclairés de la médium m'a rappelé une scène similaire avec Christopher Lee. Sinon, je dois dire que j'ai trouvé l'explication finale un peu naze, et voir cette grosse machine en métal dans un si beau décor gothique a quelque chose d'un peu anachronique.

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Au programme : un sale gosse comme vous en verrez rarement au cinéma, une mère insomniaque de plus en plus agacée par les crises de son fils, et pour couronner le tout, un monstre aux mains crochues qui a pour seul vocabulaire les mots "Ba Ba Ba, Dook Dook Dook". Après une quarantaine de minute un peu longuettes, le film démarre enfin et réserve quelques belles scènes flippantes. La mère dit des trucs pas possibles à son fils, et on ne sait jamais trop où se cache la vérité. Une chose est sûre : Essie Davis livre une sacrée performance d'actrice, ce qui n'est pas si fréquent que ça dans le cinéma d'horreur.

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Hormis une ou deux scènes à tendance horrifique, on ne peut pas vraiment dire que The Innkeepers fasse peur. Non, au lieu de chercher à effrayer le spectateur, le réalisateur tente plutôt d'instaurer un mélange de tension et d'humour, en multipliant les phases d'exploration et en jouant avec les codes du cinéma d'épouvante. Hôtel abandonné oblige, les décors ne sont pas sans rappeler ceux de Shining, mais la comparaison avec le chef d'œuvre de Kubrick s'arrête là.
La vraie force de ce film à petit budget, c'est assurément son couple d'acteurs. Sara Paxton est formidable dans ce film : à peine maquillée, habillée d'un polo rouge et coiffée d'une simple barrette, on ne peut pas dire qu'elle soit particulièrement mise en valeur, mais malgré tout, l'actrice de Shark 3D possède un charme inouï dans ce rôle. Ses moues boudeuses, sa gaucherie et sa gestuelle désarticulée la rendent vraiment craquante, et quand elle entend des bruits dans son casque ou qu'elle descend lentement les marches qui mènent à la cave, on tremble avec elle et pour elle.

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J'ai été content de voir un film d'animation en 3D destiné à un public un peu plus âgé. Les enfants sont attachants et moins lisses que dans tous les films Disney, Pixar et Dreamworks. Certaines vannes m'ont bien fait sourire, et jusqu'au générique de fin, j'ai même cru qu'il y aurait des morts ! Je regrette juste que le dernier acte tombe dans le gros n'importe quoi, avec la maison maléfique qui poursuit les enfants dans la rue... Ce n'est pas comme si ce qui s'était passé avant était réaliste, mais j'ai trouvé ce passage vraiment fatigant et pénible à regarder.

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Une comédie noire qui nous mène bien en bateau en nous faisant croire qu'il s'agit d'une histoire de maison hantée. Avec ses cheveux ébouriffés et ses yeux écarquillés, Eugène est un personnage vraiment original, et je ne serais pas étonné que Zach Galifianakis soit choisi pour ce rôle s'il y a un jour un remake américain.
A part ça, le film est beaucoup trop long, et le personnage principal est particulièrement antipathique. Elle m'a tout de même bien fait rire pendant la scène aux WC.

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Un écrivain chasseur de fantômes part dans une maison hantée australienne pour le bonus DVD de son futur livre. Seul dans cette vieille demeure inhabitée, il installe ses caméras, quand soudain, il entend un bruit sourd...
Commençons par le positif : ce found footage, qui avait débuté comme un mockumentaire, possède une superbe maison dont les décors boisés et chauds m'ont fait pensé au remake de Resident Evil sur Gamecube. Entre les vieux meubles, les moquettes et autres papiers peints délavés par le temps, il y a de quoi faire niveau ambiance, surtout que le héros est souvent dans le noir avec pour seul éclairage la lampe torche de son caméscope. Alors il marche lentement, respire fort, et il entend des bruits. Une porte qui claque, des pas à l'étage, des coups contre les murs. Et puis la lumière s'éteint. Deux fois. Et c'est à peu près tout...
Car voilà le principal défaut de ce found footage : il ne se passe rien durant ses 75 minutes. N'espérez pas voir un fantôme ou une apparition quelconque, vous serez forcément déçus. Un peu comme dans La Casa Muda, on voit donc un personnage se promener encore et encore dans une maison flippante. Les 25 premières minutes sont assez longuettes, avec des documents audio, une interview à la radio, et divers témoignages filmés. Bref, c'est une occasion manquée, car avec très peu de moyens, le réalisateur avait réussi à instaurer une belle ambiance horrifique.

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Je n'avais quasiment aucun souvenir du premier film, et cette suite m'a semblé très longue. 2h10 pour un film d'horreur, c'est abusé. Les scènes avec la nonne sont les plus effrayantes, et celle où Lorraine Warren se retrouve enfermée dans une pièce avec une ombre qui se déplace sur les murs est très réussie. Tout ce qui concerne le cas Enfield m'a moins passionné, car j'avais déjà vu la mini-série qui y était consacrée en 2015. Il est d'ailleurs dommage qu'une ellipse scénaristique occulte les investigations initiales de Maurice Grosse qui constituaient le cœur de la série britannique. Je n'ai pas senti les Warren très impliqués dans ce cas de possession, et leurs histoires de couple, je m'en tamponne. Si l’esthétique 70's est globalement crédible, j'ai trouvé que le dernier acte faisait trop moderne, et je n'ai donc pas réussi à me sentir concerné par les images.

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Le début du film est assez réussi : on a l'impression de voir un clone de Paranormal Activity, sauf que l'équipe de scientifiques vit dans la maison hantée avec la famille. Cependant, la seconde moitié du film est plus axée sur les personnages et fait beaucoup moins peur. La scène de lévitation est un peu too much.

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Un film de fantômes dans l'Angleterre rurale des années 70. Ca ne fait pas peur, et la séquence d'exorcisme est vraiment moyenne.

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Très déçu par ce prétendu classique. On sent trop la patte de Spielberg : entre le vélo, les gamins adorables, la maison de banlieue, la musique à la John Williams et les effets recyclés d'Indiana Jones, c'est l'overdose. Le casting est mauvais (au secours, les parents), et le film met 1 heure à démarrer. Mais là encore, on est déçu, et on ne sait jamais si on est dans une comédie ou dans un film d'horreur grand public. Seul le dernier quart d'heure mérite vaguement le détour.