Les meilleurs jeux en monde ouvert selon Raymus

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Si openworld est synonyme de liberté, Minecraft est la définition de l'openworld. Quoi de mieux que de pouvoir interagir de A à Z avec un monde infini...

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... aller au-delà de l'infini ? 18 446 744 073 709 551 616 : c'est le nombre officiel de planètes présentes dans No Man's Sky. Autant vous dire que vous et votre vaisseau spatial paraîtrez bien petit dans l'univers démentiel proposé par cette ode à l'exploration.

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Skyrim montre quant à lui que, après tout, ce n'est pas la taille qui compte. L'important, c'est la beauté, la richesse, l'émotion que peut dégager un openworld...

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... mais si la richesse peut rendre un openworld splendide, la pauvreté aussi. C'est le cas quand un jeu arrive à vous imposer un silence de cathédrale en vous plongeant dans une map parfaitement vide, et ce afin de mieux vous surprendre lorsqu'un colosse de la taille d'un immeuble sort de terre.

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L'openworld de Dofus est l'un des premiers qui m'est venu en tête. Il m'a indéniablement marqué, peut-être parce que j'ai passé des heures et des heures à le parcourir, ou peut-être parce qu'il est simplement magique et que c'est justement pour cela que je l'ai tant parcouru.

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Un vaste océan jonché d'îles toutes aussi mignonnes les unes que les autres, et un petit voilier rouge qui vous tape la discute de temps à autre, le tout assaisonné au cel-shading... Vous n'avez besoin de rien d'autre, il ne vous reste plus qu'à prendre la mer !

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L'openworld démesuré de Xenoblade Chronicles X m'a mis une vraie claque. Quel dommage que je ne puisse pas en dire autant du jeu !

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Difficile de parler de véritable openworld, dans le sens où A Link to the Past est, comme la majorité des autres jeux Zelda, très linéaire, et qu'il n'est pas possible d'accéder à toutes les zones dès le début. Mais au fur et à mesure qu'on avance dans le jeu, ces zones finissent par s'interconnecter pour créer un monde gigantesque et d'une richesse inédite pour un jeu Zelda en 1991 (ou pour un jeu vidéo tout court). Encore aujourd'hui, la carte de A Link to the Past reste légendaire. Il y a même des posters à son effigie, c'est dire.

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On est un peu dans le même cas de figure qu'avec A Link to the Past : peut-on vraiment parler d'openworld ? Quoi qu'il en soit, le monde aux décors post-apocalyptiques de Borderlands, qui s'ouvre sans cesse au cours du jeu, m'a particulièrement charmé (et le cel-shading, là aussi, est un must).

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Je ne pouvais pas ne pas mettre Breath of the Wild dans ce top, parce qu'il faut le dire, son openworld est sublime. Mais je ne pouvais pas non plus le mettre plus haut, parce qu'il faut le dire, son openworld est bien vide. Il n'en reste pas moins mémorable et le parcourir est un vrai plaisir !