Les meilleurs jeux vidéo des années 2010 selon Nicobiz

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LA claque de ma vie : jamais un jeu ne m'avait fait ressentir de telles émotions, même bientôt 7 ans après je frissonne devant chaque scène. Un duo de personnage qui restera à jamais gravé dans ma mémoire, une écriture parfaite, subtile et émouvante. Et cette fin... D'une puissance sans pareil.
Naughty Dog : Donnez tout ce que vous avez pour la suite, prouvez qu'elle en valait la peine !

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Il était attendu celui-là... Et il n'a pas déçu ! Malgré de nombreuses tentatives, aucun jeu n'a pu lui arriver à la cheville dans son registre, depuis.
Que dire, si ce n'est que c'est LE jeu pilier de cette génération, celui sur lequel la prochaine génération (je l'espère) s’appuiera quand il s'agira de raconter une histoire et un univers en monde ouvert (et enfin en finir avec la montagne de mondes ouverts gadget / inutiles / copiés-collés qu'on nous sert depuis trop longtemps). Quand la narration est présente sur tous les strates d'un jeu, ça donne The Witcher 3 : un jeu créé avec amour et une immense passion pour l'oeuvre originelle et le jeu-vidéo.

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Star Wars pour les adultes. Univers d'une richesse folle, personnages mémorables, musiques magnifiques, écriture de haut vol (même s'il s'agit d'un épisode de transition). Le meilleur Mass effect (pour moi) et un des meilleurs jeux que j'ai fait.

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Initié (violemment) aux Souls avec Dark Souls premier du nom, j'attendais de pied ferme ce jeu : ambiance de folie qui transporte du début à la fin (mais vraiment hein, l'ambiance est dingue), univers passionnant, musiques magnifiques, combats de boss déments (même si ma préférence va à Dark Souls III à ce niveau), level-design de pur génie... Un des meilleurs jeux de sa génération.

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Conclusion d'une série qui a fait les beaux jours de la PS3, et qui m'a complètement happée par ses persos très attachants, sa mise en scène complètement ultra cinématographique, et son rythme dosé à la perfection. Et quelle conclusion ! Naughty Dog savent comment conclure des histoires (merci Neil Druckmann !).
Quelques soucis de rythme aux 2/3 de l'aventure ainsi que quelques chapitres moins amusant à jouer lors d'autres parties, mais comment ne pas le pardonner face à l'écriture profonde des persos et cette conclusion aussi belle que juste ?

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Difficile de se réinventer après avoir usé jusqu'à la corde une série telle que God Of War, et pourtant !
J'hésitais entre le 3ème épisode et celui-ci, et finalement cet épisode est un tel tour de force que je l'ai choisi.
Mise en scène, écriture, musiques, gameplay, il y a peu à reprocher à ce jeu tant il excelle à tous les niveaux. Certains aspects de son gameplay (l'escalade notamment) me déplaisent mais c'est peu de chose face à la claque infligée par Sony Santa Monica en 2018.
Vivement la suite (et merci Naughty Dog, pour l'inspiration ^^).

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Violente, rebutante, difficile : telle est l'introduction à un Souls/Borne pour un nouveau joueur.
Et pourtant, derrière cette impression de se faire rouler dessus toutes les 3s, se cachent des jeux d'une grande profondeur, à la difficulté justifiée et si gratifiants une fois domptés qu'ils en deviennent des drogues.
Dark Souls a été mon entrée dans la saga, j'ai bien galéré au début mais je n'en garde aujourd'hui que des souvenirs impérissables. Quelle ambiance, et quel jeu !

Annotation :

Solo exceptionnel, écriture parfaite, drôle, inventif, intelligent.
Co-op excellent, des barres de rire ou d'énervement (si vous n'êtes pas très patient avec votre co-équipier, comme moi ^^).
Valve, à quand Half-Life 3 ?

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Arrivé pile au moment où la sursaturation des mondes ouverts génériques, ou des jeux sans saveur était à son paroxysme pour moi, Death Stranding a eu l'effet d'un coup de poing.
Peu attiré par son gameplay de prime abord (déjà que je ne supporte pas les mondes ouverts parce que je les trouve gadget, remplis de choses inutiles et je perds l'intérêt rapidement), mais hypé pendant 3 ans par les trailers, je l'ai pris day one en me reposant sur le seul nom de son créateur qui m'a apporté certains des meilleurs moments de jeu (et la plus grosse déception de la génération avec MGSV, mais bon passons).
Début laborieux, mais une fois le gameplay et l'austérité des menus pris en main, le voyage en valait la chandelle. Qui aurait cru que marcher d'un point A à un point B pouvait être aussi puissant émotionnellement ? La mélancolie, voire la poésie, qui se dégage de ces moments (surtout quand les musiques des groupes associés au jeu se lancent) m'a complètement hypnotisé.
C'est un jeu dur à vendre, à cause de son gameplay pouvant paraître rebutant pour certains, mais ça a été une expérience si envoûtante (pour moi en tout cas, ce n'est clairement pas un jeu fait pour tout le monde, ce qui est d'ailleurs ironique vu que le jeu ne parle que de connecter les gens).
Tout, du gameplay, au monde ouvert, en passant par l’histoire (excellente) est intimement connecté, proposant ainsi une cohérence de tous les instants.
Un expérience à part, et qui rassure sur le fait que certains jeux à gros budget osent encore prendre des risques aujourd'hui.