Activité sur Bâtardes Glorieuses
Au contraire, je pense que montrer qu’un violeur est un homme « normal » est un geste profondément sensé, féministe et politique. Le viol est malheureusement courant, c’est un peu « la banalité du mal » pour vulgariser le concept d’Hannah Arendt. Dépeindre un violeur violent, ça aurait desservi le propos puisque ça aurait donné l’idée qu’y a une majorité d’hommes gentils et y a une minorité d’hommes méchants qui violent. Si un spectateur éprouve de l’empathie pour le violeur dans l’histoire, il ...
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Le 29 oct. 2024