"On prend sur soi."
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On connait Cleric et sa brutalité qui frise souvent l'expérimental.
Avec cet EP l'anglais Jorden Hodgetts restent sur ses acquis et délivre pour nos oreilles une techno brute et désespérée.
Blitz : Un ryhtme rapide et brutal qui accompagnera le morceau jusqu'à sa mort. Si le tout est en constante augmentation, série de pressions toujours inachevées, on se plait à entendre les dissonantes boucles laisser place à des volutes mystiques, un peu faciles mais planantes. 8/10
Restore : La production est à son plus haut niveau. Chaque son est calibré, en constante transformation. Si les basses sombres et brutes s'estompent parfois, c'est pour mieux nous surprendre lors de leur retour violent. C'est terriblement addictif et dangereux.
Distant Cry : De ce pleur lointain, on n'en entendra que le profil. Celui-ci se laisse bouffer par une série de claps endiablés, parfaitement mariés à une basse sous-terraine immersive. Les synthés s'ajoutent et promettent des sons gargantuesques et martiaux à ce rythme constant et rapides qui nous abandonnent pour mieux nous revenir en pleine face. 8/10
1514695B : On l'attendait, il est là. Pas très surprenant, mais rassurant. Le fameux morceau qui se détâche par son rythme déconstruit. Présent dans tout EP classique de techno, celui-ci tient en partie ses promesses. Si tout du long on attend une véritable explosion sonore, on se voit devoir se contenter de jolis violons synthétiques qui font planer des claps précis mais envahissants. 6/10
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs albums de 2015
Créée
le 23 juil. 2015
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