Tunes Of War part III
L'Écosse et Grave Digger c'est une grande histoire d'amour puisque avec Tunes Of War (1996) le groupe a atteint son sommet du succès commercial. En 2010, le groupe a tenté de rééditer le coup avec...
Par
le 15 juil. 2020
Un bon cran au dessus du précédent, Fields Of Blood n'est malgré tout que médiocre et fait montre des mêmes défauts que The Living Dead.
Le groupe est toujours partagé entre nostalgie old school et désir de modernité. Malheureusement, qu'il emprunte aux nouveaux succès, Alestorm et Ensiferum par exemple (My Final Fight), ou s'auto-plagie (Union of the Crown, Barbarian), il peine à rendre le tout intéressant. Faire du neuf avec du vieux n'est pas chose aisée et Grave Digger sonne déjà entendu à tous les niveaux. C'est dommage, l'intro me laissait espérer un retour en force...
Chris galère toujours autant, mais j'ai l'impression qu'il a finit par s'en rendre compte et délègue de plus en plus : les chœurs sont plus nombreux, ses lignes vocales sont moins ambitieuses et il laisse occasionnellement la vedette à un autre chanteur. Thousand Tears est probablement le morceau que je préfère et c'est finalement celui où il ne chante pas.
Quelques morceaux sortent tout de même du lot, on retiendra Freedom, Heart of Scotland, Thousand Tears et Fields of Blood. Le reste alterne entre le quelconque (All, Lions, Union, Gathering) et le mauvais (My Final Fight, Barbarian). Un bon gros "Bof" en somme.
Créée
le 9 nov. 2020
Critique lue 49 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Fields of Blood
L'Écosse et Grave Digger c'est une grande histoire d'amour puisque avec Tunes Of War (1996) le groupe a atteint son sommet du succès commercial. En 2010, le groupe a tenté de rééditer le coup avec...
Par
le 15 juil. 2020
Du même critique
J'ai longtemps trouvé cet album médiocre mais avec le temps j'ai fini par en apprécier les qualités et je le trouve pas si mal au final. Il lui reste malgré tout de de sacrés défauts qui m'empêchent...
Par
le 24 oct. 2020
3 j'aime
1
Heavy Metal est le témoin d'une époque, une capsule temporelle qui s'ouvre sur une esthétique datée mais malgré tout influente. D'ailleurs, l'angle de la filiation artistique est peut être...
Par
le 19 mai 2020
3 j'aime
Sans surprise que Mgla nous propose à nouveau un Black hyper efficace et immédiat. Age of Excuse est à l'image d'Exercises in Futility et With Hearts Towards None : mélodique, lisible et simple...
Par
le 21 janv. 2021
3 j'aime