"On prend sur soi."
Il y a au départ la petite histoire qui donne son origine cocasse au film : la rencontre, tumultueuse pour le moins, de François Ruffin avec Sarah Saldmann, chroniqueuse sans grande finesse du...
le 2 oct. 2024
25 j'aime
Avec Imparmence Agoria signe tout bonnement un excellent album. A la croisée des chemins, entre pop (parfois, notamment dans les morceaux par la voix si singulière de Kid A, sorte de Björk miniature), techno des plus efficaces et des plus profondes (le terriblement sexy Speechless avec la légende Carl Craig, surement l'acmé de l'album ou le superbe Panta Rei, d'une tension explosive rare), deep house hypnotique (l'étonnant mais génial Souless Dreamer avec le drôle Seth Troxler), techno minimaliste (Little Shaman avec Scalde) ou même jazz et ambient dans les morceaux de transition... Agoria touche à tout tout en restant dans sa veine : deep, nocturne, dansant, mélancolique et cinématique...
Une petite merveille qui fera danser aussi bien que rêver.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Journal musical de Janvier 2017
Créée
le 21 janv. 2017
Critique lue 142 fois
Du même critique
Il y a au départ la petite histoire qui donne son origine cocasse au film : la rencontre, tumultueuse pour le moins, de François Ruffin avec Sarah Saldmann, chroniqueuse sans grande finesse du...
le 2 oct. 2024
25 j'aime
La Nuit où Laurier Gaudreault s'est réveillé est probablement l'œuvre la plus dure et la plus mure de Xavier Dolan, construite comme une compilation presque étouffante de tous ses thèmes, de toutes...
le 21 févr. 2023
19 j'aime
2
Film emblématique d'une génération, The Blues Brothers n'a pas réussi à me convaincre. En tous cas pas totalement. Certes je n'ai pas passé un mauvais moment, j'ai même ri franchement à certains...
le 29 déc. 2015
18 j'aime