Une maîtrise des instruments (saxophone et violon) irréprochable, mais des morceaux si dissonants et proches de bruits (porte qui grince et marche pesante d'une personne pour With the Dark Hug of Time, ballade d’hippopotame pour Won't Be a Thing to Become, bruit d'une scie à métal dans In the Vespers, et j'en passe) que c'en est insupportable. C'est du sadomasochisme technique.
The Sun Roars Into View est littéralement une étude violon/saxo, caractérisée par sa répétitivité et un thème qui reste très continu malgré de minuscules variations, le tout dans la dissonance "moderne".
Ce qui en ressort, c'est l'ennui, le caractère brouillon de l'album, et un mal de tête conséquent.