[...] Ce premier essai solo de Rosalie Cunningham s'avère être une délicieuse remontée dans le temps. Délicieuse mais surtout troublante d'authenticité. Point d'opportunisme là-dedans, on sent que la madame, entre deux mises en charpie de groupes, baigne dans l'esprit hippie, tantôt folk, tantôt rock, tantôt pop mais surtout psyché jusqu'à l'os. A tel point qu'elle ne ferait pas tâche si elle trouverait un Tardis la faisant revenir aux heures glorieuses du festival de Woodstock. En espérant cette fois qu'elle se tienne à cette carrière sous son propre nom sans faire (trop) de vagues.
La critique entière figure sur Core And Co, n'hésitez pas à aller y faire un tour !