[...] Bref, Mustasch nous revient avec un Silent Killer des plus convaincants qui ira réconcilier son public le plus brutasse qui avait décroché sur Testosterone. Il garde cette même ligne de mire entre hard rock et stoner, très 'n roll mais avec une dimension, cette fois, autrement plus heavy. Direct, hyper concis et sans chichis, Silent Killer sent bon la transpiration sous les poils, les casquettes en cuir cloutées et l'huile de vidange. De quoi bien meubler les activités en plein air sous la moiteur estivale.
La critique entière figure sur Core And Co, n'hésitez pas à aller y faire un tour !