Sorti tout droit des labels Geometrics lullaby ( entre autres connus pour distribuer Sewerslvt), 2019 est marqué par la sortie de deux albums: d'une part la sortie de Draning Love story de Sewerslvt, et d'un autre projet, bien méconnu qui est TOWERS.
Alors que le premier album cité fait partie des genres dits du Weirdcore et Synthcore, le tout en étant une sorte de renouveau du drum and bass en plaçant un climat assez dépressif,
TOWERS propose là aussi un peu de déprime, mais quand même dans le réconfort, le tout en employant des clés venant directement d'un genre d'aujourd'hui bien vu et revue : le Vaporwave.
Alors, Vaporwave, c'est un peu comme parler d'expérimentale, c'est où la limite ?
En quelques mots, la vaporwave s'est proposé de faire ressortir, comme la lo-fi un pannel de musiques tout droits sortie d'une époque (ici les années 70 et 80) et ce soit en employant les sonorités des genres en questions (le synthé, les boites à rythmes, les voix, le tempo, les effets) ou bien en travaillant des samples.
Et donc là.... on a du synthé, quelques sont qui mettent un paysage en place, mais ça reste majoritairement de l'ambiant, 50 minute d'ambiant. quelques indices sur ce qui nous attends figure sur la pochette: une syline de tours illuminé de nuit, et en sont millieu un personnage qui tombe.
l'album regorge d'un catalogue assez ample, bien qu'ici, il est question de méditer, la nuit de préférence.