The Amanuensis par Pierre Marot

Après quelques critiques d'album vraiment bon mais manquant d'énergie, je savais qu'il fallait que je revienne du côté du metal.
C'est chose faite, et RAAAAAAAA que ça fait du bien. Je n'ai pas grand chose à rajouter, sinon que comme je peux être une langue de pute, je dois admettre que ça manque un peu de diversité, les pistes s'enchaînent et se ressemble parfois un peu trop. Bon, c'est vraiment pour pinailler parce qu'il y a quand même des morceaux assez divers, comme Samsara qu'on n'attendait pas vraiment, une pause salutaire, ou même Jinn qui ne peut laisser indifférent dans le tonnerre ambiant de l'album.
J'imagine que je ne serais pas crédible si je disais que je n'aime pas le growl, mais c'est vrai, en général. Ici, l'alternance de voix claires et de growl me va assez bien, finalement.
Un mot sur les live à la fin de l'album ? Ouais, bon. C'est bien quand tu es dans la fosse, dans un album c'est largement dispensable. On ne va pas s'en plaindre non plus, mais j'aurais préféré des créations originales...
En tout cas, c'est comme ça que j'aime mon prog, largement teinté de metal !