A la frénésie déclenchée par guitares acérées et autre double-pédale tonitruante, un piano ou quelques arpèges viendront toujours répondre par un moment comme suspendu, résonant dans le silence. Ainsi donc, la froideur intransigeante des deux opus précédents se dilue un peu, Algorythm concédant quelques minutes à la brutale technicité de ces compositions pour mieux rappeler que la frontière est – étonnamment – ténue entre jazz, ambiant et… death metal.
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