Dur d'encaisser le départ de Steve Hackett et de ses délicates ambiances, après l'âme fantasque de Peter Gabriel dont le souvenir prend encore tant de place dans les imaginations. Comment ne pas être déçu alors par cet opus peu savoureux dont les chansons manquent de reliefs, alors que le groupe nous a habitué à de violents contrastes et des moments à couper le souffle. On reste sur notre faim.

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le 11 janv. 2015

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Alexandre Cagli

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