Amy Amy Amy, de tes débuts à ta fin, et même après encore, tu restes parmi mes artistes préférés.
Tes chansons me plongent dans une sorte de matelas moelleux de velour et de soul ; un nuage de douceur et de spleen, où se répondent batterie et trompette, sur le fond d'une ligne de basse solide et entrainante. Et il y a, bien sûr, ta voix, qui me balade dans ton univers sombre mais libre, à ton image.
Alors bien sûr, à chanter la solitude ("Wake up alone"), le désespoir ("Back to black"), les déboires amoureux ("You know I'm no good", "Love is a losing game", "Just friends"...), et ta terrible addiction ("Rehab"), pouvais-tu vraiment finir autrement ?
Qu'importent les tabloïds : de toi, je préfère me rappeler le rythme chaloupé de ta batterie, et le timbre grave et mélancolique de ta voix.
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