Album de charognard et de pucelle à l'appareil dentaire dégoulinant de bave.
J'ai été moi-même une pucelle du regard et du contact physique masculin, j'ai donc écouté cet album de merde rêvant d'un homme qui me sauverait de la dureté des êtres qui m'entouraient et qui chuchoterait à mon oreille des mots pseudo sauvages "I want you...you are mine". Ma culotte était trempée à l'écoute d'un " t'es à moi rien qu'à moi" de mon ex possessif paranoïaque drogué. Je répondais d'ailleurs en zozotant " ze suis à toi", et balbutiant comme un bébé qui mange sa bouillie j'ajoutais un "hm" aiguë et gênant qui résonne comme un cri de perte de dignité dans mon être encore aujourd'hui.
Donc, beauty behind madness, c'est ça. C'est une pucelle gênante qui écoute de la musique de merde rêvant de se faire démonter par un dépressif loveur aux problèmes psychologiques. C'est pas pour rien que cet album a été la bande sonore du film 50 nuances de gay, c'est du même acabit.
Plus sérieusement, en étant un peu plus constructif, il n'y a pas d'originalité et toute la force est mise dans les prods rapides et entraînantes, mais encore une fois, putain ça m'énerve de le dire, mais il n'y a pas de mélodie, et hormis penser à quelque chose d'ecoeurant comme le sexe sauvage avec un faiblard maladif, rien ne se dégage de cet album.
Et les charognards qui écoutent ça pour plaire aux femmes, c'est tout aussi gênant, je vous juge et vous critique si vous n'avez pas 15 ans, car 15 ans c'est le seul âge acceptable pour écouter cette MERDE.