Jonathan Davis, l'homme capable de fulgurances comme de fautes de gouts assez ridicules, à l'image de cette pochette horrible.
On était en droit d'attendre beaucoup plus de cet album qui manque clairement d'audace et d'inspiration. Après avoir imposé ses choix artistiques à Korn pendant 10 ans je m'attendais à retrouver un Davis libéré de toutes contraintes et laissant libre cours à ses envies et expérimentations. Au final en ressort un album tiédasse et pas si loin de Korn période Syotos/Untitled/The path of Totality. Restes quelques très bons morceaux comme l’envoûtant Please Tell me et le torturé dansant What You Believe.