[...] Au-delà du côté perché où, franchement, la part de malaise n'est jamais fort loin, ce qui impressionne également chez Ruby My Dear et l'éloigne de son comparse Gautier, c'est la sophistication qui se dégage de Brame. Bien moins abrupt dans ses transitions qu'un Igorrr, on sent un Chastagnol plus porté par le souci du détail et la science de la subtilité, faisant que malgré un côté organique quasi-inexistant qui foutra à sac les oreilles du metalleux, Ruby My Dear s'avère peut-être plus accessible qu'Igorrr dans son délire de breakcore expérimental. Aussi étonnant que cela puisse paraître.
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