Publié chez Ninja Tune, quoi que ça soit, on est assuré d'un minimum de qualité en terme d'électronique expérimental. Le duo trans-atlantique Annabel (lee), dont le nom est inspiré d'un poème du corbeau Allan Poe, propose un trip-hop hanté par une cinématographie imaginaire. L'objet semble exhumé d'un carton poussiéreux, c'est que la voix de l'américaine Annabel a des airs surannés. La production de l'anglais Richard E, quant à elle, est plus moderne et aventureuse du fait des boucles ambiant. Disque hybride, où jazz, classique, folk et cabaret se côtoient ; définitivement singulier !

punkryden
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs albums de 2015

Créée

le 26 oct. 2015

Critique lue 56 fois

punkryden

Écrit par

Critique lue 56 fois

Du même critique

Superliminal
punkryden
5

My name is dr relou

Mélange navrant de The Stanley Parable et Portal. La narration est atroce, ça parle pour ne rien dire. Il n'y a pas d'humour, on ne casse aucun 4ème mur, le message que le jeu veut faire passer est...

le 17 sept. 2020

12 j'aime

Le Monde sans fin
punkryden
7

Ce que j'ai retenu

L'avenir énergétique de notre civilisation est un sujet sans réponse simple et facile. En plus de constituer la matière première de tout ce qui constitue notre quotidien, le pétrole est la seule...

le 12 janv. 2022

9 j'aime

Le Droit du sol : Journal d'un vertige
punkryden
6

J'ai préféré le site de Greenpeace.

Après Le Monde sans fin (2021) de Jancovici clairement pro-nucléaire, Davodeau, lui défend la thèse inverse. Tel un Rufin, il part en pèlerinage jusqu'à Bure, future site d'enfouissement de déchets...

le 12 janv. 2022

8 j'aime