[...] C'est peut-être d'ailleurs là où le bât blesse le plus : même si 46 minutes ne semblent pas être la mort en soi en terme de durée d'album, il faut admettre que dans ce cas précis, ça se laisse traîner en longueur. Même un tant soit peu digéré, Choose The Mental Illness As A Virtue reste éprouvant à l'écoute et une telle débauche de brutalité de prime abord sans queue ni tête se doit de rester concise, tel un coup de poing brise-nuque mortel. Et aussi intéressant puisse-t-il être sur certains aspects (voire quelques éléments strictement musicaux isolés), ce n'est clairement pas le genre de galette qu'on ressortira régulièrement. C'est que dans sa folie, il aura été sacrément philou le Anselmo sur ce coup-là !
La critique entière figure sur Core And Co, n'hésitez pas à aller y faire un tour !