Un homme d'exception
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Cette femme a des doigts d’or ! Il faut aller écouter son Bach, son Haydn (2008, Mirare) et son Scarlatti (1998, Ina Mémoire Vive), de vrais modèles d’équilibre, de rigueur humble, et un toucher d’une légèreté, d’une émotion exceptionnelle.
Les Davidsbündlertänze sont ici lues avec un romantisme exacerbé, à mille lieues des exercices pianistiques dont nous abreuvent avidement les grands labels. C’est fin, ciselé, sublimé par une prise de son superlative : que demander de plus ? Le corpus est d’une redoutable cohérence. Les pièces lentes sont des réussites absolues.
Bon, pour les Scènes d’enfants, ça ne révolutionne rien par contre, mais ce sont des pièces qui n’ont pas cette ambition. Tout le monde les joue un peu de la même façon, que ce soit Kempff, Argerich ou Richter. Disons que ce n’est pas mon interprétation préférée...
Un excellent disque au demeurant à posséder de cette artiste si discrète, mais aussi si vraie et qui porte en elle un réel traumatisme.
Créée
le 20 août 2022
Critique lue 2 fois
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