Je découvre Muse

Entre des notes sur SensCritique très sévère et un pote qui me chantait les louanges de ce Drones, je ne savais pas trop comment appréhender cet album.
J’aime bien Muse, mais je ne m’y intéresse pas assez pour explorer l’ensemble de leur discographie. Mais Drones m’intriguait. Etait-il aussi mauvais que ce que je voyais sur internet, ou était-il aussi bon que ce mon pote me disait.
Autant vous dire que j’étais perturbé en commençant cet album parce qu’en fait, Muse, à part quelques morceaux que j’aime bien, je sais connais vraiment pas leur style.
Au final ? J’ai adoré.
Encore une fois, je ne m’y connais pas en musique, je me laisse simplement aller par ce qu’on me propose et rarement j’ai kiffé un album autant que Drones. Lisant en même temps les lyrics, je découvrais un univers musical inédit et surtout envoûtant qui m’emmenait plus loin que ce que j’aurai pensé. Dès le premier morceau, j’étais dedans.
C’était du bon, et j’étais à fond.
Alors, peut-être qu’avec le temps, je trouverai cet album moins bon que les autres de Muse. Peut-être que les prochains que j’écouterai me feront vivre quelque chose d’encore plus puissant que Drones, mais pour le moment, je suis fan de cet album.
Je ne citerai qu’un morceau : The Globalist.