De prime abord, Dust, Fierce, Forever m'a légèrement déçue : j'ai eu l'impression d'avoir droit à un revival electro house kitschoune plutôt qu'au concentré d'énergie qui pour moi était la marque de fabrique du groupe, que ce soit sur CD ou en live. Pourtant, après de multiples écoutes, force est de constater qu'il est quand même sérieusement euphorisant. Et puis… j'ai du mal à mettre le doigt dessus, mais il y a quelque chose de très bizarre avec cet album… une certaine mollesse, un déséquilibre qui me donne toujours l'impression d'être légèrement bourrée en l'écoutant. Comme je n'ai jamais vécu ailleurs l'équivalent musical de s'enfiler trois mojito, je lui mets 9 pour l'expérimentation.