Du sous sous Ken Carson sous xanax, la pire merde que j’ai écouté cette année. On est à mille lieue des débuts fulgurent du prodige à qui on promettait un avenir radieux. Le type se prend pour Playboy Carti... Le gars devrait chasser l’idée que la consommation de drogue aide à la créativité. Sur les sonorités - mal digérées et mal mixées, il a dix ans de retard. Sa manière de poser, je n’en parle même pas, il a tout perdu : le flow, les refrains, les textes. Le pire est sans contestation possible, son ultra-minorité de fans qui l’encense comme si Ateyaba payait leur loyer. C’est terrifiant de nullité.