Ghost in the Machine par Yeahmister
“Invisible Sun” file le bourdon, un titre super déprimant de bonheur qui évoque “Synchronicity” mais pas autant que “Spirits in The Material World”, le premier titre ou encore “Secret Journey” qui aurait bien sa place dans le dernier album. Les cuivres éblouissent sur “Hungry for You” mais la claque new-wave arrive avec “Demolition Man”, le genre de titre qui te rend invincible pendant 6 minutes, cuivres et guitare en avant, épaulé par l'écœurante facilité de Stewart Coppeland. “Too Much Information” a tout du hit teigneux. “Re-Humanise Yourself” doit tout aux cuivres, encore eux, le reggae du blanc “One World” fait toujours des merveilles. “Omega Man” déçoit quand même et “Secret Journey” annonce encore “Synchronicity”. “Darkness” n'est pas aussi aussi noir qu'il le prétend mais il emballe facilement, un charme mélancolique. Et puis… qui n'a pas chanté et bougé ses extrémités en entendant “Every little thing she does is magic” ou sur “Hungry for you” ? Même si c'est interprété dans un français approximatif par un anglais au nom bizarre. Et au passage, je déteste “Synchronicity”.