Bref

Johnny Hallyday , notre Elvis francophone . Objet musical singulier , il a commencé sous les yéyés et a terminé avec de la variétoche a grosses guitares . Ce live en est un parfait exemple . Mauvais gouts , démesure de nouveau riche .
Trois parties distinctes
Hallyday a toujours été ringard . Il a certes été dans la hype au début des années 1960 , mais le rock britannique , avec son évolution progressive a mis un étouffoir sur ces velléités international . Ce concert long de trois heures résume sa carrière déjà longue a veille de l ' an 2000 . Cela ce balance entre la promotion du dernier album , des medleys des précédents et des tubes divers et varié .
La partie symphonique
Dans le genre lourdeur qui se rajoute au pénible : la " fameuse " partie symphonique . Elle est trop courte pour être vraiment signifiante . Nous sommes loin , très loin de ce qu' a fait Portishead lors de son concert new yorkais . Seul " requiem pour un fou " avec Lara Fabian surnage dans cette gadoue .