Homogenic par Escrivaillon
Homogenic. Le début de mon histoire d'amour avec l'Islandaise.
Je me souviens, quand je partais au lycée, le matin, je mettais le boulevard des clips sur la 6 pour me préparer, et un jour est sorti "Bachelorette". Une vraie merde ! Et avec un clip complètement tarte. "One day, I found a big book buried deep in the ground..."
Et M6 l'a passé tous les matins. Et tous les matins, je me suis arrêté pendant 4 minutes pour regarder le clip. Je n'aimais pas, mais j'étais fasciné.
Et puis je me suis rendu compte qu'en réalité j'aimais, je n'avais juste jamais été "possédé" par une chanson, et j'avais tenté de résister. Vainement.
Du coup, Homogenic ce sont mes premiers émois auditifs. Bachelorette, et puis Jöga surtout. Mais aussi Hunter ou Alarm Call qu'il m'a fallu apprendre à aimer, parfois après plusieurs années.
Globalement, il s'agit d'un album énergique, avec beaucoup plus de sons "organiques" que dans ses autres albums, enfin, je ne vois pas trop l'intérêt de développer plus, je pense que tout le monde le connaît.