"So scatter all my ashes when I'm dead"
"No one's laughing now". Comme s'ils allaient vraiment nous balancer un son vraiment Stone Sour, le son, hybride de SlipKnot et un truc plus Tayloriste. Un mashup, un truc de fou. Je n'ai pas été convaincu, à mes première heures de metalleux de la force de l'album Audio Secrecy (en le réécoutant, j'avoue avoir un peu plus de facilité à l'écouter), là, c'est tout le contraire, dès le premier morceau, tu prends une méga claque. Même Come What(Ever) May me paraît fade, à côté. C'est pour dire. C'est, il me semble, le premier Stone Sour (que je n'abrègerai pas avec ses initiales, non non) sans le bassiste d'origine, Shawn Economaki.