Parfait.

Je ne rigole même pas. Cette album est un sans faute. Il est incroyable du début jusqu’à la fin.

Notons en premiers temps que l’album est le créateur du rock progressif, un style majestueux et grandiose , qui en aspirera plein d’autres (comme Pink Floyd qui se consacra de plus en plus au prog suite au départ de Barrett, pour le meilleur comme pour le pire, ou encore Genesis) en utilisant de nombreux instruments plus "classique" (comme par exemple la flûte qui sera extrêmement bien utilisé dans le Noble et Magnifique In the court of the Crimson King) contrebalancé par des air Psychédéliques (comme avec Moonchild).

Évidemment, je ne vais pas faire un cours sur le Prog, car je n'y connais presque rien, mais néanmoins, cet album en est bien le représentant le plus pur, que ce soit en matière d'inventivité, de richesse et de diversité (du hard rock de 21th century au prog de the court, en passant par la ballade psychédélique d'Epitaph) , avec des riff impressionnant et légendaire (21th century schizoid Man c'est de toi que je parle) une batterie au taquet (sa lourdeur dans Epitaph me donne envie de dormir et de me réveiller dans leur monde fabuleux) , des accords de flûtes remarquablement beau (leur arrivé dans la dernière chanson avant le retour en grande pompe du groupe me ferons sourire) à ce mellotron magnifique d'Epitaph (J'en suis émue tellement il en est beau) et pour finalement finir avec ces belle paroles très avant-gardiste.

Car si l’album parle des conséquence des guerres à partir de l'Homme schizoïde, il nous montre que le monde est finalement devenu un grand centre capitaliste dirigé par des idiots dans I talk to the wind/Epitaph, pour finalement montrer que nous ne sommes pas si différent du moyen-âge avec la cour du roi cramoisi).

Tout est soigneusement préparé pour ne pas que l'on s'ennuie, et c'est chose tenu car l'album arrivent à nous tenir en haleine durant ces 44 minutes de bonheur profond et entrainant.

En bref, si je ne devais choisir qu'un seul album en cas de fin du monde, ce serait celui-là. Car cette album est un diamant qui, malgré toute les années passé, ne perd jamais de son immense et belle éclat.

Sur ceux au revoir.