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grâce et mélancolie
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le 21 oct. 2023
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Album assez frais, agréable à écouter le matin au café. Il y a une grande unité entre les titres, donc on n'est pas perdu d'une musique à l'autre. La voix très oxygénée de Sufjan Stevens traduit une fragilité masculine toute contemporaine, en proie au doute, au mal d'affection, au besoin d'être aimé. C'est peut-être ce qui a du mal à me parler, cette supplique ambiante qui manque de virilité et qui vient d'ailleurs se perdre dans les chœurs de femmes tout le long du disque.
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Créée
le 15 févr. 2024
Critique lue 7 fois
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